
Après avoir décrypté les raisons (corruption généralisée, crise économique…) de l’élection de cet ancien capitaine de l’armée, député depuis trente ans, Herbert Claros a notamment listé les premières mesures prises par le nouveau président brésilien : suppression de différents ministères (travail, culture, sport…), assouplissement de la législation sur les armes à feu ou encore la gestion des terres indiennes confiée au ministère de l’agriculture et aux grands propriétaires terriens.
Le syndicaliste a également expliqué que les médias brésiliens avaient déjà sorti des affaires de corruption sur des proches (son fils et son chauffeur notamment) de Jaïr Bolsonaro.
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