dimanche 28 février 2016

NDDL 27 FEVRIER



                                     ZAD peb lec'h , stourmomp skoazh ouz skoazh      
          
                                          ZAD partout ! Convergence des luttes !  

                                                           !يا  عمال العالم اتحدوا 

                                                     全世界无产者,联合起来!

                                                 Workers of the world, unite!

                                       Travailleur-e-s de tous les pays, unissez-vous !



  Samedi 27 février sur la RN 165 près de Notre Dame des Landes, plus de 50 000 manifestants pour dire :
NON , ni aéroport, ni expulsions, nous garderons Notre Dame des Landes.


vendredi 26 février 2016

Urgent SIGNEZ et PARTAGEZ la Pétition contre la réforme du Code du Travail

https://www.change.org/p/loi-travail-non-merci-myriamelkhomri-loitravailnonmerci

près de 700 000 signatures au 26 février 2016

Centre-Bretagne. Des agriculteurs hostiles aux mines


PHOTO CLAUDE PRIGENT / LE TELEGRAMME. PHOTO CLAUDE PRIGENT / LE TELEGRAMME.

Ces dernières semaines, à l'instigation de l'association Douar Didoull (Terre sans trou) de nombreux agriculteurs et propriétaires terriens du Centre-Bretagne ont déposé dans leur mairie des déclarations de refus de prospection minière sur leurs terres. Une démarche légale qui entravera, dans certains secteurs, les études géologiques.

Dans sa petite mairie de Perret (180 habitants), Luc Carité, un maire costarmoricain, suit de très près tout ce qui touche aux projets miniers de Variscan. « Ici, on est concerné par le permis de Silfiac. Il couvre les deux tiers de la commune. La plupart de mes administrés agriculteurs se sont déclarés hostiles à des prélèvements de roches sur leurs terres. Ils nous ont remis, en mairie, des déclarations en bonne et due forme ». Des formulaires fournis par l'association Douar Didoull et basés sur l'article L153-1 du nouveau code minier. On peut y lire qu'il y a « impossibilité, sans le consentement du propriétaire, d'opérer des sondages, d'ouvrir des puits ou galeries ». Effectivement, reconnaît Variscan, cette démarche est tout à fait légale. « Mais s'il y a refus, nous sommes en droit de demander une occupation temporaire du terrain visé précise de son bureau orléanais, Michel Bonnemaison, le directeur général. Cette procédure est accompagnée d'une indemnisation au prorata du préjudice subi. Mais jamais nous n'irons jusque-là. Ça serait ubuesque. Tout ça pour pouvoir ramasser une poignée de terre dans un sac plastique. Nous prendrons en compte ces refus de prospection mais, pour l'instant, elle continue. Des carottages sont prévus ».



Centre-Bretagne. Des agriculteurs hostiles aux mines


« Pas de second Notre-Dame-des-Landes »

Michel Bonnemaison se dit étonné de l'opposition que manifestent les Bretons contre ses projets miniers. « Une vraie question d'ordre sociétal se pose en Bretagne : les gens souhaitent-ils un développement industriel pour leur région ? S'ils ne le veulent pas, on en tirera toutes les conséquences. En tout cas, je ne suis pas là pour lancer un nouveau Notre-Dame-des-Landes. Les opposants racontent souvent tout et n'importe quoi. Et développent une forme d'obscurantisme qui nuit beaucoup à nos projets. Dans certaines régions comme les Pays-de-la-Loire, où l'on a lancé des projets de prospection, c'est tout l'inverse. Les habitants et les élus aimeraient bien qu'on avance plus vite ».

Des maires méfiants voire opposés

Reste que dans certaines mairies, on explique que Variscan a péché par manque de transparence. C'est l'avis de Michel André, le maire de Saint-Gelven, commune incluse dans le permis de Merléac (22). « Au début, je n'étais pas opposé à ces projets. Je me disais même, qu'économiquement, ça pouvait être une bonne chose pour notre territoire. Comme les mines de fer qui, anciennement, étaient exploitées sur la commune. Un jour, une géologue est passée en mairie nous demandant de prendre en charge la distribution des feuillets d'information aux habitants. On a refusé. J'ai trouvé que cette démarche était inappropriée. L'information de la population n'était pas leur préoccupation première. Dès lors, je me suis méfié ». Le maire de Perret, dont le conseil municipal s'est opposé aux projets de Variscan, fait le même constat. « De plus, en réunion de suivi, le représentant de la Direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement de Bretagne (Dreal), donc de l'État, n'employait pas le conditionnel mais le futur en parlant des mines. Ça m'a choqué ». Pour Luc Carité, ces projets miniers seraient incompatibles avec le tourisme vert qu'il entend développer à Perret. « Ici, nos atouts ce sont l'abbaye de Bon Repos et la forêt de Quénécan non loin du lac de Guerlédan ».

© Le Télégramme
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COMMENTAIRES DU COMITE NPA BEAR GWENGAMP:

Encore un petit effort et VARISCAN va lacher prise......

Mais le syndrome  du breton attardé opposé au progrès  a encore frappé.... Merci pour nous!

Je me souviens d'un procès aux assises spéciales à Paris et de la déclaration d'un ponte de l'anti terrorisme qui nous décrivait comme des idiots, attardés,  assis autour d'un feu, conspirant je ne sais quelle révolte.
Petite précision quand même le classement national des résultats des lycées pour le baccalauréat donne la première place ...au lycée DIWAN de KARAEZ devant les plus grands établissements parisiens. Pas mal pour des attardés mentaux.

mercredi 24 février 2016


                ATTERRISSAGE PREVU DE LEUR AVION A NOTRE DAMES DES LANDES.......



 

mercredi 17 février 2016

             LA CRISE AGRICOLE EN  BRETAGNE...VUE PAR DES PAYSAN(ne)S

                                             DU PAYS DE GUINGAMP

L'Apli 22. « D'abord nettoyer dans notre cour »


Audrey Le Bivic de Plouaret, Francis Prigent de Trégonneau et Gilles Guillou de Grâces font tous les trois partie de l'Association des producteurs de lait indépendants des Côtes-d'Armor.



Face à la crise du monde agricole, l'association des producteurs de lait indépendants des Côtes-d'Armor (Apli 22) veut faire entendre sa voix. Aujourd'hui, elle soumet deux propositions : une régulation par les industriels et une législation pour réglementer les coopératives. « Parce que ce n'est pas en faisant du feu sur les ronds-points qu'on va y arriver... Et parce qu'aujourd'hui on pense que la situation est tellement grave que l'on peut avoir un écho... » Voilà pourquoi Audrey Le Bivic, Francis Prigent et Gilles Guillou de l'Apli 22 ont souhaité s'exprimer sur la crise agricole.

« J'accuse la FNSEA... »


« Tout ce que l'on avait annoncé en 2009, vu le changement de cap dans les productions avec un libéralisme à outrance, est arrivé pleine balle. Aujourd'hui, on se rend compte que nos instances dirigeantes - je nomme Xavier Beulin et Christiane Lambert - qui ont ri de nos actions à l'époque, nous ont conduits dans le mur et moi, je les désigne comme responsables. J'accuse la FNSEA d'être le fossoyeur de l'agriculture aujourd'hui », dénonce Gilles Guillou. « La fin des quotas pour nous, c'était aller droit au casse-pipe. Sans régulation, ça ne peut pas fonctionner », ajoute Francis Prigent. « Il y a 30 % des éleveurs qui ne vont pas tenir. On est dans une impasse la plus totale. » Pour les trois membres de l'Apli 22, « il y a un ménage gigantesque à faire ». À commencer, pour eux, par les coopératives « qui s'apparentent à des administrations ».

« Aujourd'hui, ce n'est pas la distribution qu'il faut viser, il faut d'abord nettoyer dans notre cour », insiste Francis Prigent. Pour l'éleveur, cela ne peut passer que par la législation. « L'État doit légiférer pour réglementer les coopératives, afin qu'une coopérative soit une identité unique et indivisible et qu'elle appartienne aux producteurs et non pas à des financiers. "Moi président je m'attaquerai au monde de la finance", avait promis Hollande en 2012 », ironise l'agriculteur. Pour l'Apli 22, il n'est plus acceptable « que des coopératives, qui commencent en coopérative avec des avantages fiscaux, finissent en SAS en payant des amendes plutôt que de divulguer leurs profits". 

Autre cible dans le viseur de l'Apli 22 : 

les industriels. « C'est contre eux qu'il faut se battre aujourd'hui, car ce sont eux qui nous payent ». L'association propose de mettre en place une régulation par les industriels. « Quand les industriels ne sont plus en mesure de payer aux producteurs un prix couvrant les coûts moyens de production, on enclenche un système pour proposer un prix majoré aux producteurs qui souhaitent baisser leur production. Ce système de régulation devra se généraliser au niveau européen et sera financé par une caisse de péréquation entre les éleveurs qui choisissent de réduire leur production et les éleveurs qui choisissent de continuer à produire à outrance ».
Et Gilles Guillou d'imager la situation : « Les routes sont un bel exemple. Pourquoi on y trouve des gendarmes ? Parce que sinon ce serait le bazar. Là, c'est pareil, il faut mettre un système de gendarme en place


extrait de : Le Télégrammehttp://www.letelegramme.fr/economie/



Un discours en nette rupture avec les propos ultra libéraux de la FNSEA et une dénonciation du rôle du capital financier . des propos qui ouvrent la voie à une possible alliance entre les salariés et la  petite paysannerie .

Note du NPA Bear Gwengamp
 

  COMMUNIQUE DE PRESSE  NPA Bear Gwengamp



AEROPORT NOTRE DAME DES LANDES

Référendum: un piège pseudo-démocratique version Hollande

A la suite de la déclaration du président Hollande, Manuel Valls a précisé que la consultation sur le projet d'aéroport à Notre Dame des Landes est prévue " pas pour abandonner le projet mais pour le légitimer et pouvoir évacuer la Zad" et bien sûr expulser les paysans et les zadistes... en toute légitimité.
Que Emmanuelle Cosse, nouvelle ministre du logement et ex- secrétaire nationale d'EELV, se soit félicitée de cette fausse-solution est à la fois indigne et pathétique.

Tous les recours juridiques nationaux et Européens ne sont pas épuisés et de nouvelles études sont menées à propos de l'intérêt de l'actuel aéroport de Nantes- Atlantique. Nous constatons que la décision de bétonner la ZAD est en contradiction avec les objectifs d'action contre le dérèglement climatique acté par la loi de transition énergétique et l'accord de Paris sur le climat. Mais que la déclaration d'utilité publique de ce projet est émise par l'Etat et ne peut donc être remise en cause par un vote local. Cette prétention à référendum apparait pour ce qu'elle est: un piège pseudo-démocratique.
Cet enfumage vise à diviser la population et à devenir un plébiscite contre les paysans de la ZAD et les zadistes afin de répondre aux demandes pressantes de certains élus et de Vinci, le grand trust du béton.

Pour l'heure, le temps est à l'amplification de la résistance. On ne lâche rien!
Nous ferons de la prochaine manifestation sur le site de NDDL, le 27 février, un succès éclatant qui sera une nouvelle réponse de celles et ceux qui s'opposent à ce nouvel aéroport, à Vinci et à ce monde productiviste et capitaliste.

Le 14 février 2016

Le comité NPA Bear Gwengamp.


lundi 15 février 2016

APPEL : Notre-Dame-des-Landes – Samedi 27 février 2016 - Mobilisation générale

Pour l’abandon du projet d’aéroport Pour l’avenir de la ZAD Ni expulsions, ni travaux !
Celles et ceux qui habitent et cultivent la ZAD ne la quitteront pas !
Il n’y aura jamais d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes !
Pour l’abandon du projet d’aéroport
Pour l’avenir de la ZAD
Ni expulsions, ni travaux !
Face aux menaces du gouvernement, le mouvement anti-aéroport est plus dense et vivant que jamais. En témoignent la mobilisation en urgence de 20 000 personnes et près de 500 tracteurs sur le périphérique nantais le 9 janvier, les actions de blocages et mobilisations paysannes qui ont suivi, le rassemblement devant le tribunal de Nantes et les multiples manifestations dans des dizaines d’autres villes en France et au-delà.
La résistance à Notre-Dame-des-Landes est aujourd’hui devenue emblématique de tant d’autres luttes contre les destructions environnementales et sociales, de tant de combats face à la disparition des terres agricoles ou aux causes du changement climatique. Elle marque un refus ferme de la marchandisation continue du territoire et de nos vies. Ce qui se construit sur la ZAD est porteur d’un immense espoir parce que s’y inventent d’autres manières d’habiter le monde, de cultiver, de créer et de s’organiser en commun. Les 30 et 31 janvier, c’est un millier de personnes qui sont venues participer à plus de 30 chantiers simultanés pour renforcer ce que Vinci voudrait détruire. En ces temps d’état d’urgence en passe de devenir perpétuel et d’atteinte prolongée aux libertés publiques, la détermination qui anime le bocage est un encouragement contagieux à ne pas se résigner.Mais le 25 janvier, le juge des expropriations a prononcé l’expulsion des paysan-ne-s et habitant-e-s légaux de la ZAD : immédiate pour les exploitations agricoles, sous deux mois pour les habitations. Les quelques 200 nouvelles personnes qui, depuis 2007, se sont installées sur la ZAD pour y vivre et la protéger, sont, elles aussi, susceptibles d’être délogées par la force. La décision de passer à l’acte est aujourd’hui entre les mains du gouvernement.
Hollande s’était engagé à attendre la fin des recours juridiques contre le projet d’aéroport. Ceux-ci ne sont pas épuisés : les recours contre les arrêtés loi sur l’Eau et Espèces Protégées sont en appel, une procédure de pré-contentieux est encore pendante devant la Commission Européenne. Pourtant, Valls, de son côté, martèle toujours sa volonté d’expulser la ZAD et de démarrer les chantiers à court terme, confortant les porteurs du projet. De premiers travaux de défrichage sont censés commencer avant la mi-mars.
Si la pression sur l’ensemble de la zone est aujourd’hui plus forte que jamais, il n’est pas question de partir et de laisser la place aux tractopelles de Vinci, ni de vivre continuellement avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Il n’est pas non plus question de diminuer notre propre pression sur les porteurs du projet et le gouvernement.
Au contraire, c’est maintenant qu’il faut enfin gagner l’abandon du projet d’aéroport par notre mobilisation ! Dans le bras de fer qui s’est engagé, la puissance du mouvement dans la France entière pendant les semaines à venir va être décisive. Toutes les composantes de la lutte appellent donc à multiplier les actions de solidarité, en préambule d’une journée de mobilisation massive et générale le 27 février. Cette journée aura pour mot d’ordre l’arrêt des menaces d’expulsion sur les paysan-ne-s et habitant-e-s de la ZAD, ainsi que l’abandon définitif du projet d’aéroport. Nous invitons tous les comités et soutiens à relayer très fortement l’appel pour cet événement et à organiser des bus et convois pour s’y rendre.
Nous nous rassemblerons le 27 février en fin de matinée, précisément là où les travaux sont censés commencer, pour y faire la démonstration concrète de notre capacité à les bloquer. Nous convergerons ensuite vers une grande fête pour l’avenir de la ZAD. Les différentes heures exactes de rendez-vous et points de départ des cortèges seront précisés par la suite.
Celles et ceux qui habitent et cultivent la ZAD ne la quitteront pas !
Il n’y aura jamais d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes !
Premiers signataires de ce texte :
des membres de la Coordination des opposants : ACCV, ACIPA, ADECA, Agissons Pour l’Avenir, ATTAC, CéDpa, CELA, EELV, Ensemble ! 44 et Ensemble ! national, Greenpeace France, MEI 44, MOC, M’PEP, Nature Avenir, NPA 44 et NPA national, Parti de Gauche 44 et PG national, Rezé à Gauche Toute, Solidarités Ecologie, Union Syndicale Solidaires 44, ….
le COPAIn 44
des occupant-e-s de la ZAD
l’assemblée du mouvement réunie le 2 février
des comités de soutien : CAAC,…
Nous invitons à relayer très largement cet appel au format numérique, à le mettre sur vos sites et à le diffuser dans vos réseaux.
Nous appelons les orgas, collectifs, assos, comités qui le souhaitent à co-signer ce texte (envoyez vos signatures à acipa.secretaire@free.fr ) ou afficher par d’autres biais leur soutien et leur participation à la mobilisation du 27 février.
                  GOOD YEAR , la lutte continue!



Des contacts sont pris par l'union locale CGT de Guingamp pour créer un comité de soutien aux huit camarades de GOOD YEAR condamnés à la prison ferme.

Le comité NPA de Bear / Gwengamp est disponible pour y participer.

à suivre donc.......
                                      CONSEIL DEPARTEMENTAL DES COTES D'ARMOR

                                   Jeudi 11 février:  500 agents dans l'action

A l'appel de l'intersyndicale CGT,SOLIDAIRES, CFDT, FO les personnels ont débrayé et envahi l'hémicycle à l'occasion d'un Comité Technique sur la démolition des droits acquis au sein du Conseil Départemental.

Sur fond d'économie budgétaire donc d'austérité, la droite départementale applique la politique nationale du PS......

TOUS PARTISANS DE L'AUSTERITE BUDGETAIRE QUI NOUS PREPARE DES "JOURS HEUREUX" COMME LES GRECS.

Le service public avait considérablement régressé avec l'ancienne majorité de " la gauche unie". La droite amplifie le mouvement, en supprimant les emplois de non titulaires à tour de bras, une manière sans doute de lutter contre le chômage?

En prime, Cadec et son équipe de bras cassés attaquent frontalement en remettant en cause une semaine de RTT, et en voulant instaurer la prime au mérite. Dispositif très en vogue chez les socialistes.Qu'ils appliquent même lors des élections avec le succès que l'on sait !

Nous apportons tout notre soutien aux personnels en lutte et aux organisations syndicales de classe qui appellent à résister.



ci dessous article du Télégramme vendredi 12 février 2016


jeudi 4 février 2016

                                     ELECTIONS MUNICIPALES DE SAINT LAURENT


Dimanche 31 janvier avait lieu le second tour des municipales partielles de Saint Laurent, pour cinq sièges à pourvoir. 
Au premier, trois listes étaient en présence dont " Vivre ensemble à St Laurent" avec la participation du comité NPA Bear Gwengamp, en la personne de Thierry Perennes.
Au second tour, en raison du retrait de la liste" Saint Laurent hier, aujourd'hui et demain" il n'y avait plus que dix candidats en concurrence.
Difficile de dire où se situe politiquement la liste "A l'écoute des Saint-Laurentais", bien que le positionnement politique des candidats  et les soutiens dont elle bénéficiait soient ouvertement  à droite.....
Le résultat est cependant très net puisque cette dernière fait élire ses cinq candidats, malgré une bonne progression de notre liste qui obtient en moyenne 36%.


Donc une majorité fragile, au sein d'un conseil municipal recomposé de la façon  suivante:
huit éluEs majoritaires autour du maire, 
quatres éluEs de la minorité, que nous soutenons, 
et trois anciens éluEs de l'ex majorité, qui ont été exclus de fait par la nouvelle équipe majoritaire.

Un véritable défi pour faire face aux enjeux de l'intercommunalité qui se met en place sans aucune consultation de la population, et les conséquences catastrophiques des baisses de dotations financières de l'Etat.  Mais pour certains éluEs qui vivent en ne regardant pas au delà du clocher,et dont la seule lutte à mener consiste à préserver leur place, quelle importance!.... 

Présent dans cette séquence électorale, le NPA entend localement continuer à mobiliser contre les politiques publiques d'austérité, contre les projets inutiles et couteux tel celui du Palacret ou  le projet minier de Lok Envel. Mais aussi et surtout pour qu'une véritable consultation des populations soit organisée sur la question de la future communauté d'agglomération Guingamp Paimpol.

Inutile de préciser que le Ps et la Droite ne supportent pas le débat sur ces questions......


Pour le comité NPA
Thierry Perennes