mardi 7 mai 2024

com

 


Un communiqué en date 6 Mai 2024  du émanant du NPA L'ANTICAPITALISTE appelle à voter pour les élections européennes pour la liste d'Union Populaire de La France Insoumise.

Cette déclaration n'engage pas le NPA REVOLUTIONNAIRES qui va déposer officiellement sa liste dans quelques jours. 

Liste sur laquelle figurera notre camarde Gilles RUMEN, désigné démocratiquement par notre comité.

Pour plus d'info vous pouvez consulter ce blog.

Le NPA REVOLUTIONNAIRES est en campagne active après la réunion du 3 Mai à Bégard, la fête du NPA R de Rennes a réuni 80 personnes samedi 4 mai.

D'autres rendez vous sont programmés à Nantes, Angers....


 

lundi 6 mai 2024

jeunes

 

Contre le massacre à Gaza et la complicité de Macron : les organisations de jeunesse appellent à amplifier et rejoindre les mobilisations !

Appel des organisations de jeunesse du 6 mai 2024

Depuis le 25 avril, la mobilisation étudiante en soutien au peuple palestinien s’est étendue de Science Po Paris à plusieurs universités sur le territoire. Comme les étudiant.e.s américain.e.s qui occupent massivement des dizaines de campus universitaires, nous refusons de voir plus longtemps la population palestinienne subir les bombardements incessants, la famine organisée avec le soutien actif ou passif des grandes puissances.

Non à la complicité de l’État Français dans le génocide en cours !

Macron et son gouvernement sont complices de ce qui se passe dans la bande de Gaza et de la répression contre la mobilisation de solidarité en France. Ils continuent de livrer des armes à Israël qui permettent à Netanyahou de poursuivre le massacre. Arrêt des livraisons d’armes à l’État israélien !

Depuis plusieurs mois, le gouvernement Macron réprime et calomnie la solidarité avec le peuple palestinien. Alors que les étudiant.e.s des grandes écoles et universités se mettent en mouvement, Gabriel Attal et Sylvie Retailleau, respectivement 1er ministre et ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, mettent la pression aux présidences d’université pour réprimer les mobilisations dans l’œuf en fermant les campus et en permettant les interventions policières ! Ce vendredi 3 mai, ce sont 25 établissements qui ont été ciblés par des interventions policières visant à évacuer des occupations ou à débloquer des établissements !

La répression contre le mouvement de solidarité doit cesser !

En dedans comme en dehors des universités, des responsables politiques et syndicaux sont aussi attaqué.e.s et condamné.e.s pour « apologie du terrorisme ». Face à la répression de nos libertés fondamentales, à la censure et au cours autoritaire du gouvernement, nous devons faire l’unité la plus large : entre étudiant.e.s et salarié.e.s, organisations de jeunesse, syndicales, politiques, collectifs de solidarité… Manifester pour la Palestine n’est pas un crime ! Cette unité pour nos droits démocratiques, pour l’arrêt du massacre et du génocide à Gaza et de la colonisation israélienne doit se retrouver massivement dans la rue. Les étudiant.e.s ne sont pas les seuls à soutenir le peuple palestinien. Ces derniers mois, de nombreuses manifestations ont rassemblé des dizaines de milliers de personnes, de tous âges : nous devons reprendre ce chemin.

Nous, organisations de jeunesse, appelons à poursuivre dès lundi les mobilisations dans les campus universitaires et dans les lycées. Nous appelons à organiser partout en France des rassemblements, manifestations, occupations mardi 7 mai.

Nous appelons aussi à se mobiliser le mercredi 15 mai prochain, à l’occasion des 76 ans de la Nakba (Grand Exode des Palestiniens), et à impulser ou rejoindre les initiatives existantes ce jour-là.

Les mobilisations dans les universités sont encourageantes. Elles doivent être l’occasion de reprendre les manifestations massives qui regroupent tous ceux et celles, jeunes, salarié.e.s et retraité.e.s, qui souhaitent exprimer leur solidarité avec le peuple palestinien. En ce sens, nous nous adressons aux organisations syndicales et politiques pour discuter de la perspective d’une nouvelle journée de manifestation nationale en solidarité avec les Palestinien.ne.s le samedi 18 mai.

– Stop aux massacres et au génocide des Palestinien.ne.s. Solidarité avec la lutte du peuple palestinien !
– Stop à la répression de la mobilisation pro-palestinienne !
– Ouverture immédiate des facs ! Stop aux fermetures administratives !
– Stop à la complicité de l’État français ! Stop à l’envoi d’armes.
– Pour le droit du peuple palestinien à décider de son sort !

Signataires : Union étudiante, NPA Jeunes Révolutionnaires, Le Poing Levé, Jeunes Insoumis, FSE, USL, Jeune Garde, Fédération des Jeunes revolutionnaires, Jeunes Ecologistes, Jeunes Generation.s, Solidaires etudiant.e.s, Jeunesses Anticapitalistes, FIDL, MJCF, UEC

 

 

conf

 

                        ELECTIONS EUROPEENNES 2024

crédit photo Emmanuelle Pays



         Conférence de presse de la liste du NPA.R

        « pour un monde sans frontières ni patrons urgence révolution »

        menée par Selma LABIB et Gael QUIRANTE .

        Bégard le 3 mai .


A l’occasion de la venue à Bégard de Gael Quirante second sur la liste du NPA aux élections européennes du 9 juin, nous avons tenu un point presse.

Ce fut l’occasion de confirmer la présence sur celle ci de Gilles RUMEN, conducteur de car et syndicaliste guingampais bien connu, qui fut aussi candidat du NPA aux dernières départementales sur le canton de Callac ( avec 11% des voix).

Une liste constituée de 81 militantes et militants salarié(e)s du public et du privé étudiants, étudiantes jeunes précaires et en formation, avec un moyenne d’âge très jeune.

La tête de liste elle même Selma LABIB conductrice de bus a 28 ans.


Une liste résolument internationaliste et anticapitaliste qui tranche avec l’ambiance chauvine et xénophobe alors que l’extrême droite donne le tempo sur lequel s’aligne la plupart des partis institutionnels. En feignant d’ignorer qu’ils votent à longueur d’année au parlement européen des lois qu’ils dénoncent devant leurs électeurs...au moment des élections !

Une liste qui ne comporte pas dans ses rangs un seul capitaliste, un seul patron, un seul condamné pour abus de biens sociaux...


Sans complexe, nous assumons d’appeler à sanctionner la case sociale de Macron et la démagogie raciste de Le Pen, pour donner de la force à un programme de lutte. Sans hésitation nous affirmons que réformer le capitalisme en conservant les patrons, comme le disent certains à gauche, c’est de l’arnaque ou une grossière plaisanterie.


L’urgence n’est pas à fermer les frontières, ni à préparer la guerre en engloutissant des milliards dans l’armement.

L’urgence est à l’augmentation des salaires et des revenus, au partage du travail, à préserver la planète, à améliorer les conditions de vie des populations, notamment en terme de santé, d’éducation. L’urgence c’est aussi de répondre à la crise agricole en promouvant un autre modèle d’agriculture paysanne.

L’urgence s’est aussi de consolider le pôle des révolutionnaires dont nous ne sommes qu’une composante, mais déterminée et offensive.

C’est le programme que nous développerons pendant toute la campagne.


Dans les jours à venir le NPA.R s’attachera à proposer une initiative unitaire de tout le mouvement ouvrier et populaire contre la répression (avec l’exemple de la convocation devant la police des syndicalistes du Finistère), et contre la répression du mouvement de soutien au peuple palestinien.


Tout contact sur la messagerie : npabear@gmail.com

le blog https://npabear.blogspot.com/

le site https://npa-revolutionnaires.org/


photo jointe en pièce : Gael QUIRANTE et Gilles RUMEN pendant la réunion publique.

( crédit photo Emmanuelle Pays).




sncf

 

Les cheminots ont-ils pris leur revanche sur la réforme des retraites ?













« C’est une issue lamentable », « une forme d’euthanasie du travail », « un accord catastrophique ! ». Le voilà bien énervé, le chef de file des sénateurs LR ! Mais de quoi parle-t-il ? De l’augmentation de 700 euros de frais de mandat des sénateurs pris en charge par l’État que ses amis et lui ont votée récemment ? Certainement pas ! Il s’agit de l’accord pour une « cessation anticipée d’activité » (CAA) qui vient d’être signé à la SNCF par l’ensemble des syndicats, CGT et SUD compris, et la direction. La presse s’est affolée en présentant la chose comme une remise en cause dangereuse de la dernière réforme des retraites. Et Bruno Le Maire d’en rajouter une couche sur la catastrophe annoncée en convoquant dans son bureau Jean-Pierre Farandou, PDG de la SNCF. Ouh, le sale gosse qui aurait mal fait son travail de casse sociale ! Les gros yeux du gouvernement à un PDG, c’est valable pour Farandou, qui pointe à 400 000 euros par an de salaire, le maximum dans une entreprise publique. Mais pour Carlos Tavares, PDG de la multinationale française Stellantis, qui s’offre la bagatelle d’un petit 36 millions d’euros par an, personne ne moufte au gouvernement.

Alors, zéro pointé pour la direction de la SNCF et grande victoire pour les cheminots et leurs syndicats ? Tachons d’y voir plus clair.

« On a gagné de partir un peu moins tard »

À la première lecture, le dispositif est plutôt séduisant en annonçant la possibilité d’un départ en retraite anticipée, sans perte de salaire directe ou perte de trimestre de cotisation. En fonction des services, des métiers et des critères obscurs de pénibilité, ce départ anticipé irait de 9 à 18 mois. Pour un certain nombre de cheminots, cela représentera une avancée, ou disons plutôt une limitation partielle du recul de l’âge de départ en retraite. En moyenne, c’est autour de un an de moins au travail qui a été gagné.

Une victoire partielle à mettre au compte des grèves menées depuis quelque temps par les travailleurs du rail. Au contrôle lors de différents week-ends, à l’aiguillage, dans les ateliers de maintenance ou à la conduite, les mobilisations ont été nombreuses ces derniers mois. Et même si cela ne s’est pas transformé en un mouvement national des cheminots, c’est cette combativité et cette crainte qui ont contraint la direction SNCF à lâcher quelques avancées.

Un pansement sur une jambe de bois

Pas de quoi crier victoire sur toute la ligne, loin de là ! Le premier accord de cessation progressive d’activité à la SNCF date d’après la réforme des régimes spéciaux de 2007 par le gouvernement Sarkozy, tout comme le nouvel accord succède à la dernière réforme des retraites de 2023. Leurs buts : compenser en partie seulement et sur des critères de pénibilité l’effet des réformes promulguées. La dernière réforme des retraites s’appliquera belle et bien, en augmentant d’autant d’années de trop la fatigue et l’usure des travailleurs du rail. À l’instant t et avec le bénéfice du nouvel accord de fin de carrière, un agent de conduite embauché en 2021 partirait à la retraite à 62 ans et 9 mois. On est loin de la retraite à 50 ans pour les agents de conduite et 55 ans pour tous les autres cheminots que les grévistes de 1995 avaient maintenue.

Bruno Le Maire a beau crier au scandale et tenter de faire porter la responsabilité sur les cheminots, c’est lui et son gouvernement qui sont responsables des attaques sur les retraites que tous les travailleuses et travailleurs du pays avaient combattues. Cette réforme, 49.3 ou pas, adoptée ou pas, un an après ou pas : on n’en veut pas !

Le CNA, tout ça pour ça ?

La mobilisation chez les contrôleurs SNCF a été portée depuis quelques mois par un Collectif national d’ASCT1 (CNA), structure hors syndicats, qui se voulait plus représentative des revendications des salariés concernés. Mais pendant toute la dernière séquence, le rôle du CNA s’est cantonné à suivre les directions syndicales. Pendant la grève de février, il n’a à aucun moment cherché à structurer le mouvement à la base, ce qui aurait permis aux ASCT de s’organiser et de se coordonner, et ainsi de décider collectivement des suites de leur grève. Pire, alors qu’en avril la direction n’a pas donné satisfaction à toutes les revendications, le CNA a lui aussi annoncé ne plus appeler à la grève en mai, bradant ainsi un mouvement collectif pour une poignée de lentilles. Sortir des cadres syndicaux n’est pas en soi une recette magique pour gagner nos luttes. Ce qui permet le vrai rapport de force, c’est que les travailleurs dirigent démocratiquement, par la base, leurs mouvements.

Quant aux directions syndicales, elles affichent leur satisfaction de la signature de l’accord. Au nom de son contenu, mais surtout au nom d’un dialogue social renoué avec la direction ! Pourtant, pas de quoi sortir les trompettes au vu de la détérioration des conditions de travail et de transports qui se poursuit.

Pour prendre réellement notre revanche sur la dernière réforme des retraites et pour obtenir de véritables augmentations de salaire, il reste nécessaire de préparer une mobilisation d’ampleur. La direction de la SNCF a reculé d’un pas et pense probablement en profiter pour mieux sauter de deux ! Pas question de laisser faire !

Correspondant

 

 

1  Agent du service commercial trains.

dimanche 5 mai 2024

REVO 13

 


greve

                                 GREVE CHEZ UN SOUS TRAITANT DE                                                             STELLANTIS



samedi 4 mai 2024

NPA .R


 

            Notre nouveau logo en référence au titre de notre journal             "Révolutionnaires".

                     Un point de contact: npabear@gmail.com

            Le comité Nathalie Le Mél est un comité du NPA.R



Réunion publique de Bégard le 3 mai 2024


coup de main

                              SPECIALE CAMPAGNE EUROPEENNE 2024.




              Un coup de main pour coller des affiches, distribuer nos tracts ou souscrire .


                                     Une adresse de contact : npabear@gmail.com



                                 Liste menée par Selma LABIB et Gael QUIRANTE.


gilles

              

                                       REUNION PUBLIQUE DU NPA A BEGARD


             Intervention de Gilles, conducteur de car, militant du comité qui sera sur liste du NPA.

      
                                 



                       Nos invités "les amis de la commune de Paris 1871" comité Trégor Argoat.




                                                        crédits photo Emmanuelle Pays









GAEL

    REUNION PUBLIQUE A BEGARD LE  3 MAI

                 DE LA LISTE DU NPA:

"POUR UN MONDE SANS FRONTIERES NI PATRONS URGENCE REVOLUTION"

                                  crédits photos Emmanuelle Pays


                                Intervention de Gael Quirante, second sur le liste de Selma LABIB. 




Intervention de Virginie, syndicaliste à l'hôpital de Guingamp



La salle pendant la réunion et le débat








LITTORALE

 


 CONFERENCE A  LANNION SUR LA LOI LITTORALE


                               BON VISIONNAGE



jeudi 2 mai 2024

rennes

 

Fête du NPA

Sans patrons ni frontières, urgence révolution

Le 4 mai à partir de 15 h à Carrefour 18 (Arrêt Henri Fréville)

Débats/Ateliers, Concert Conjunto la revolución (Cumbia/Rock)

Meeting Campagne européenne à 19 h

Pour tout renseignement : npa.illeetvilaine35@gmail.com

THALES

 SUR LE SITE BRETAGNE INFO

Subventionner Thales, c’est participer au génocide contre le peuple palestinien. Lettre au Conseil Régional de Bretagne.

M. le Président de la Région Bretagne, Messieurs, Mesdames les conseillers régionaux

Au mois de juin 2023, la Région Bretagne débloquait 24 millions d’euros pour le « développement économique, l’innovation et l’emploi » de la région. Dans ce budget, les élus bretons ont voté un don de 150.000 euros au groupe français Thalès, une firme spécialisée dans les technologies de l’armement, qui partage son commerce de mort avec Israël. Parmi les productions de Thalès, un drone destiné à la surveillance et au combat, élaboré conjointement avec la plus grande société de technologie militaire d’Israël « Elbit Systems ». L’engin volant a été utilisé en Afganistan, en Irak et… à Gaza. En juillet 2023, Thalès rachetait l’entreprise israélienne « Imperva » spécialisée dans la sécurité des données pour 3,6 milliards de dollars. Thalès possède donc des succursales directement en Israël. Après l’attaque du 7 octobre et alors qu’Israël déclenchait un déluge de feu sur Gaza, Thalès affichait la plus forte hausse du CAC 40 selon le magazine Capital. La firme va créer 220 emplois à Etrelles en Ille-et-Vilaine pour produire des avions de guerre. C’est à ce titre que la Région Bretagne a décidé d’une aide de 150.000 euros.

Nous souhaiterions savoir si un telle aide est dans les projets 2024 du Conseil Régional de Bretagne, malgré les 30.000 morts de Gaza, dont certains tués par la technologie de Thales financée par l’argent des bretons ?

Nous voulons savoir si en catimini une aide à cette entreprise a été instruite par vos services malgré l’avis de la Cour internationale de justice évoque un «risque de génocide » à Gaza ?

Avez-vous conscience que vous pourriez être poursuivis pour complicité ? Nous voulons savoir si vos services instruisent des demandes de subventions auprès d’autres entreprises commerçant avec Israël, notamment dans le domaine de la sécurité et de la défense ?

Il existe des endroits où les autorités débloquent des fonds pour l’aide humanitaire et la paix, nous n’acceptons pas qu’en Bretagne on finance des machines à tuer avec l’argent public. Nous vous suggérons de verser ces 150.000 euros à l’URNWA, l’agence d’aide aux réfugiés Palestiniens, chassés de leur terre depuis 1948. Ce geste vous honorerait et honorerait la Bretagne.

Dans l’attente d’une réponse, veuillez agréer l’expression de nos salutations anticolonialistes et pacifistes.

La Gauche Indépendantiste Bretonne War-Sav.