mercredi 4 juillet 2018

LANDEBAERON

LE TELEGRAMME

Maternité de Guingamp

Mardi soir, Thierry Pérennes et Gwénaëlle Aubry (à droite) ont testé le temps de parcours entre Landébaëron et l’hôpital de Lannion, pour dénoncer les conséquences d’une fermeture de la maternité de Guingamp. Ils ont été accueillis par Jean-Jacques Durand, le porte-parole du comité de défense du centre hospitalier de Lannion-Trestel.
Mardi soir, Thierry Pérennes et Gwénaëlle Aubry (à droite) ont testé le temps de parcours entre Landébaëron et l’hôpital de Lannion, pour dénoncer les conséquences d’une fermeture de la maternité de Guingamp. Ils ont été accueillis par Jean-Jacques Durand, le porte-parole du comité de défense du centre hospitalier de Lannion-Trestel. (Photo Olivier Paris)

Les opposants à la fermeture de la maternité de Guingamp effectuent des « trajets test ».

Maternité de Guingamp : 

des « trajets test » effectués.  Trente minutes. C’est le temps que viennent de mettre, ce mardi soir, Thierry Pérennes, le représentant du comité de défense de la santé du pays de Guingamp et Gwénaëlle Aubry, conseillère municipale à Landébaëron, pour parcourir la trentaine de kilomètres, qui sépare la petite commune située près de Bégard, du centre hospitalier de Lannion. Un tampon au départ à la mairie et un autre, à l’arrivée, à l’accueil de l’hôpital, en attestent. Ce genre de « trajets test », les opposants à la  fermeture de la maternité de Guingamp vont les multiplier.