mardi 3 décembre 2024

hosto

              NOUVELLE ALERTE SUR L'AVENIR 

            DE L'HOPITAL PUBLIC DE GUINGAMP.


En dépit des annonces tonitruantes du directeur avec l'arrivée de nouveaux chirurgiens? Au delà des déclarations des élus, des "décideurs", de l'ARS le dépeçage des services de santé continue.

Une maternité "suspendue" depuis deux ans, des personnels malmenés, des EHPAD en ruine sont pourtant plus réels que le projet d'hôpital neuf reconstruit sur le site, cher au maire de droite macroniste de Pabu..

On peut faire toutes les commissions parlementaires que l'on voudra, on peut créer dix comités "théodules" d'études et d'échanges "pour un diagnostic partagé", la réalité de la liquidation  de la santé publique vers le secteur marchand est impitoyable.

Si vous voulez être soigné, démarrez votre voiture, (si vous en avez une?) et prenez rendez vous çà la clinique privée de Plérin. Voir plus loin. 

Mais n'oubliez pas votre carnet de chèque ou votre carte de crédit, la carte vitale c'est pas trop leur truc...Et c'est parti pour le dépassement d'honoraires...

Face aux attaques de l'ARS et du GHT7 opposons notre résistance. Il n'est jamais de sauveur suprême, pas plus que de révolution citoyenne " par les urnes". Il leur suffit simplement d'activer un 49.3.

Il est temps de les foutre dehors et de rompre avec la logique mortifère du capitalisme. Il n'y aura pas de "jours heureux" sous le joug de la finance et de la bourgeoisie... 

Notre soutien est sans faille pour les personnels. Nous ne pouvons les laisser seuls. 


georges

Le 6 décembre : En Bretagne comme ailleurs, amplifions les actions pour la libération de Georges Abdallah ! 

Le combat pour la libération de Georges Abdallah est indissociable du combat pour la liberté des peuples !


Il est partie intégrante du combat pour la libération des prisonniers politiques et révolutionnaires ! Georges Abdallah est un communiste libanais, engagé pour la libération de la Palestine. 

Libérable depuis 1999, l’État français refuse de le voir libre, car il continue de porter la voie de la résistance dans la guerre de libération contre l’impérialisme et son expression sioniste. Georges Abdallah est aujourd’hui le plus vieux prisonnier politique d’Europe - après plus de 40 ans d’emprisonnement. Il porte cette année sa 10ème demande de libération conditionnelle. Le 15 novembre dernier, le Tribunal d’Application des Peines de Paris a entendu les 4000 soutiens réunis à Lannemezan le 26 octobre devant la prison où est détenu Georges Abdallah. Ils ont entendu l’écho de leur détermination sans faille à continuer le combat jusqu’à la libération de ce prisonnier d’exception.

 Le 15 novembre dernier, le Tribunal d’Application des Peines de Paris a entendu l’amplification de la mobilisation et l’élan populaire pour la libération de Georges Abdallah qui désormais s’étend sur l’ensemble de l’Hexagone et à l’international pour résonner d’une seule voix au cri de « libérez Georges Abdallah » comme ce fut le cas le 14 novembre dernier, dans plus de 35 villes coordonnées dans l’action. 

Le 15 novembre dernier, le Tribunal d’Application des Peines de Paris a entendu que cet élan solidaire initié il y a plus de 20 ans, n’a fait qu’enfler et se propager, notamment ces derniers mois, pour déferler massivement et imposer que la libération de Georges Abdallah - et avec elle la légitime cause palestinienne - soit à l’ordre du jour de toutes nos luttes et réoccupe le devant de la scène politique.

 Le 15 novembre dernier, le Tribunal d’Application des Peines de Paris a compris que tout comme « Gaza ne portera jamais le drapeau blanc de la capitulation. Ni les sionistes, ni aucune autre criminelle force ne réussiront jamais à briser la volonté de la résistance à Gaza », de même jamais Georges Abdallah ni ses soutiens ne porteront le drapeau blanc de la capitulation, car Georges Abdallah est de nos luttes et sa libération effective est notre combat pour la victoire ou la victoire. 

Alors oui, le 15 novembre dernier, une victoire politique et juridique a été remportée, mais le combat continue ! Pour contrer l’appel déposé par le parquet, qui suspend la décision du Tribunal autorisant la libération de Georges Abdallah, nous nous inscrivons dans le nouvel appel de la Campagne Unitaire pour la Libération de Georges Abdallah (CUpLGIA), pour que « mille initiatives fleurissent pour sa libération sur le plan local, national et international ». 

Partout en Bretagne, où les collectivités locales subventionnent grassement Thalès et le lobby militaro-industriel qui tirent profit de l’offensive impérialiste au Liban – Palestine, soyons nombreux à participer ce 6 décembre 2024, à la journée internationale d’actions coordonnées pour la libération de Georges Abdallah. 

Multiplions les rassemblements, prises de parole, affichages, expositions de banderoles ou expressions artistiques. Le combat de Georges Abdallah est indissoluble du combat pour la libération des peuples des peuples palestinien et libanais. 

Il est aussi partie intégrante du combat pour la libération des prisonniers politiques et révolutionnaires détenus par l’État français, notamment de nos camarades kanaks, basques, ou corses. 


Premiers signataires : - Campagne Unitaire pour la Libération de Georges Abdallah (CUpLGIA) - War-Sav – Gauche indépendantiste bretonne - Jeunes Révolutionnaires - Fédération syndicale étudiante (FSE)


Le comité Nathalie Le Mél du NPA.R a aussi signé ce texte ainsi que l'ensemble du NPA.R

num 23

 


lundi 2 décembre 2024

carence

 

Non aux jours de carence, partout !

Dans les écoles primaires et maternelles, la grève du 5 décembre prochain s’annonce comme un succès. Un peu partout, les grévistes s’adressent aux parents par des tracts qui disent à propos du passage de un à trois jours de carence en cas d’arrêt maladie d’un salarié du public, par exemple : « C’est un alignement entre le public et le privé, mais avec la suppression des jours de carence pour toutes et tous, que nous voulons gagner. »

dimanche 1 décembre 2024

italie

 

Grève générale en Italie

En Italie, le 29 novembre, les confédérations CGIL et UIL ont appelé à une journée de grève générale. Fait notable, parce qu’inhabituel, les syndicats de base – à l’exception toutefois du principal d’entre eux, l’Unione Sindacale di Base (USB) – appelaient également à la grève le même jour. Première riposte d’ensemble depuis l’arrivée au gouvernement de l’alliance droite extrême droite dirigée par Meloni, elle avait un peu valeur de test.

Salvini, dirigeant de la Lega d’extrême droite et ministre des Transports, a immédiatement réagi, en demandant aux syndicats de limiter à quatre heures l’arrêt de travail dans les transports, avec le discours habituel sur les usagers « otages des grévistes ». Il faut dire qu’il avait été devancé par la CGIL et l’UIL, qui avaient décidé, elles-mêmes, de ne pas appeler les cheminots à faire grève le 29 novembre, sous prétexte que ceux-ci avaient déjà fait grève le week-end précédent à l’appel de l’USB. Devant le refus des syndicats, Salvini s’est adressé à la Commission de garantie, une autorité administrative sensée être « indépendante », qui régit le droit de grève dans les « services publics essentiels ». Sans surprise, cette commission lui a donné raison. Après avoir menacé, dans un premier temps, de passer outre, les confédérations ont décidé de faire appel au tribunal administratif, qui, à son tour, a confirmé la décision de la Commission de garantie. La grève a donc été limitée à quatre heures, aussi bien dans les transports publics locaux que dans les transports aériens.

La CGIL et l’UIL parlent d’un taux de grévistes moyen de 70 % et d’un total de 500 000 manifestants dans 43 villes, chiffres contestés par le gouvernement qui annonce 6,5 % de grévistes dans le secteur public et parle d’un échec de la mobilisation… tout en accusant les grévistes de « bloquer le pays » !

Par-delà cette bataille de chiffres, il est indéniable que cette grève a mobilisé les équipes syndicales. Des assemblées générales ont eu lieu les jours précédents dans des entreprises (en particulier dans la métallurgie), les manifestations ont été un réel succès dans de nombreuses villes (50 000 à Bologne) et les cortèges dynamiques. Les syndicats de base appelaient à leurs propres manifestations dans 28 villes (sur les 43), mais ils ont parfois rejoint les cortèges confédéraux (comme à Gênes, où le SI Cobas a manifesté avec la CGIL et l’UIL).

Si l’on ne peut pas parler de raz-de-marée, plusieurs dizaines de milliers de travailleurs ont manifesté leur volonté de riposte aux attaques du gouvernement et des patrons, ce qui tranchait avec certaines journées de « grève générale » du passé, appelées seulement pour le communiqué.

Landini, secrétaire de la CGIL, habitué des grandes déclarations, a déclaré que « le moment de la révolte sociale » est arrivé. Aux travailleurs de le prendre au mot, et de retrouver le chemin de la lutte, pour mettre un coup d’arrêt aux années de reculs imposés par les patrons et les gouvernements à leur service.

Thierry Flamand

5 decembre

 


palestine

 




GUINGAMP, NOUS NE SERONS PAS COMPLICES DES GÉNOCIDAIRES NI DES GEOLIERS.

Face à la situation dramatique de guerre totale à Gaza, aux agressions en Cisjordanie et à l'impunité garantie par la France à Netanyahou 1er ministre Israelien de nombreuses organisations locales appellent à un rassemblement contre la guerre et l'agression impérialiste en Palestine et au Liban.

Bien que poursuivis désormais par le procureur de la Cour Pénale Internationale les dirigeants israeliens, isolés sur la scéne internationale, n'en  continuent pas moins leur politique de génocide et de colonisation. 
Pire, ils mènent une guerre ouverte contre leurs voisins libanais et syrien. 
Tout ceci devant l'inaction  des instances internationales: ONU etc...et la complicité des Etats les plus riches: USA , Europe...  

Le soutien aux peuples palestiniens et libanais ne peut venir que de l'aspiration à la paix, à la liberté, à la démocratie des peuples du monde.
SEULS LES PEUPLES DU MONDE ARRÊTERONT LA MAIN DES ASSASSINS.
                    
Il s'agira également d'exiger  la libération inconditionnelle de Georges Ibrahim Abdallah prisonnier communiste Libanais détenu depuis 40 ans par la France pour son combat aux côtés des Palestiniens. Il devait sortir de prison le 6 décembre suite à une décision du tribunal d'application des peines , mais le parquet aux ordres de ceux qui protègenNetanyahou a fait appel de cette décision qui est une victoire politique et juridique pour les forces anti-impérialistes et tous les démocrates.

UN RASSEMBLEMENT SERA ORGANISÉ  VENDREDI 6 DÉCEMBRE À 18H00 
DEVANT LA MAIRIE DE GUINGAMP SUIVI D' UNE MANIFESTATION (déclarée) EN VILLE 
qui prendra la forme d'une déambulation aux flambeaux.


ORGANISENT ET PARTICIPENT A  CETTE ACTION

War-Sav LA GAUCHE INDÉPENDANTISTE
LE PCF
LFI
LE NPA.R
L'UL CGT
LA FSU
SOLIDAIRES
LA LDH

Pour le collectif d'organisation:
Thierry Perennes, Gael Roblin, Piette Jean Taine, Jocelyne Aubin, Sylvain Girondeau.