Le NPA des Côtes d'Armor exige la réquisition immédiate du laboratoire départemental de Ploufragan, LABOCEA pour tester massivement la population dans le cadre de la pandémie de COVID 19.
Le gouvernement refuse depuis le 15 mars la proposition des 75 laboratoires départementaux de mettre en oeuvre un dépistage massif, grâce à leur expertise et leur compétence, alors que l'Allemagne par exemple utilise à plein ses laboratoires...
Combien faudra t il de morts dans les EHPAD, parmi les personnels soignants, dans la population avant que ce gouvernement d'amateurs, qui se contredit jour après jour, n'entende raison !...
De scandale en scandale, absence de lits de réanimation, de masques, de médicaments,va t il persévérer dans politique contraire à la santé publique.
Nous exigeons donc des autorités de tutelle,en l'occurrence le Conseil Départemental de passer outre la déficience gouvernementale et de lancer les tests car NOS VIES PASSENT AVANT LEURS PROFITS.
VIDEO A L'APPUI DE NOTRE COMMUNIQUE DE PRESSE
https://www.youtube.com/watch?v=mzUbd4dcgo8
Le laboratoire LABOCEA se situe en Bretagne,c'est facile, sur, et rapide: forçons le gouvernement et la région Bretagne à réagir.
extrait de L'humanité lannionnaise
VIDEO A L'APPUI DE NOTRE COMMUNIQUE DE PRESSE
https://www.youtube.com/watch?v=mzUbd4dcgo8
Le laboratoire LABOCEA se situe en Bretagne,c'est facile, sur, et rapide: forçons le gouvernement et la région Bretagne à réagir.
extrait de L'humanité lannionnaise
Le laboratoire LABOCECA de Ploufragan doit être mobilisé pour des tests Covid 19 pour le département
Les laboratoires vétérinaires autorisés à réaliser des tests
Nous soutenons la démarche du NPA des Côtes d’Armor exigeant la réquisition immédiate du laboratoire LABOCECA de Ploufragan.
Rappelons que dans notre pays, 75 laboratoires publics d'analyse départementaux étaient jusqu'à présent empêchés de réaliser la moindre analyse Covid-19, une norme française interdisant aux biologistes vétérinaires de traiter des prélèvements émanant d'un corps humain.
Une absurdité dénoncée par les présidents de conseils départementaux et par les fournisseurs de ces laboratoires, qui avaient indiqué dès le 15 mars au directeur général de la santé Jérôme Salomon disposer d'un stock suffisant de réactifs pour réaliser 150 000 à 300 000 tests par semaine.
Depuis un décret publié dimanche 5 avril autorise ces laboratoires publics départementaux à dépister le coronavirus.
Mieux vaut tard que jamais, en espérant que le département des Côtes d’Armor ne soit pas le dernier à suivre l’exemple de la Saône-et-Loire qui a été le premier à se lancer.
Lannion, le 12/04/2020
ECAP-Trégor (Ecologiste, Communiste, anticapitaliste et Populaire)
Collectif comprenant ANC-Lannion, CCCP-Trégor, Ensemble-Trégor et NPA-LBGP
lannion2020.ecap@gmail.com