mercredi 24 avril 2024

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mardi 23 avril 2024

npa jeunes

 

Pour que la jeunesse contre-attaque. Communiqué du NPA Jeunes en réaction aux annonces d’Attal du jeudi 18 avril

Ce jeudi 18 avril, Gabriel Attal a instrumentalisé la commémoration de la mort d’un adolescent de 15 ans à Viry-Châtillon pour annoncer de nouvelles mesures répressives et autoritaires contre les jeunes.

Son programme, l’ordre partout, de l’école à la rue, peut faire rêver l’extrême droite. Marine Le Pen s’est d’ailleurs empressée d’affirmer qu’après les mots, elle attendait les actes.

Parmi les principales mesures, on trouve des travaux d’intérêt général pour les parents « défaillants », une mention « élève perturbateur » sur le dossier Parcoursup, l’aggravation des peines pour mineurs, avec comparution immédiate pour les jeunes à partir de 16 ans.

Autres mesures annoncées pour « lutter contre l’oisiveté » : laisser les collégiens au collège de 8 à 18 heures, envoyer dans des internats des jeunes à problème… Les formulations étant suffisamment vagues pour pouvoir concerner tout le monde. Le gouvernement préfère avoir des gardiens d’élèves plutôt que d’embaucher des profs ou des instits.

Ce « sursaut d’autorité » ne touche pas que la jeunesse. Interdiction de plusieurs conférences en soutien à la Palestine comme à Lille, de la marche contre le racisme prévue à Paris dimanche 21 avril, condamnation du responsable de la CGT du Nord pour « apologie du terrorisme », convocation d’Anasse Kazib (militant SUD-Rail et Révolution permanente) pour son soutien à la Palestine ; perquisitions pendant les vacances de lycéens de Cachan (94) placés en garde à vue suite à un blocage en mars… C’est tous ceux qui critiquent la politique impérialiste et va-t-en-guerre du gouvernement ou qui luttent contre la destruction de leurs conditions de vie d’étude ou de travail qui sont visés.

Une instrumentalisation dégueulasse au service de la politique répressive du gouvernement

Le gouvernement cherche à renvoyer la responsabilité des violences entre jeunes aux jeunes eux-mêmes et à leurs parents, c’est-à-dire les travailleurs. Or la racine du problème, c’est cet ordre social profondément inégalitaire, entretenu par le gouvernement, qui n’offre aucune perspective à la jeunesse !

Ce ne sont ni les parents, ni les élèves qui sont responsables de l’insalubrité des établissements scolaires, du manque de profs, des classes surchargées, du manque de places à l’université… du manque de moyens. En mars dernier, le gouvernement a annoncé raboter le budget de l’éducation nationale de presque 700 millions d’euros. La réforme du « choc des savoirs », réforme de tri social, mobilise parents et enseignants contre les attaques du gouvernement. Cette politique propatronale sert à fermer l’accès aux études pour les enfants d’ouvriers dès la fin du collège, afin qu’ils deviennent de la chair à patron. C’est Macron et Attal qui sont responsables de la destruction de l’avenir et du quotidien des jeunes !

Le gouvernement n’a que faire des problèmes des jeunes ou des pauvres. Il veut que tout le monde travaille, apprenne et se taise !

Sanctionner les parents, les enfants, réprimer, accuser les écrans, les réseaux sociaux… Tout est bon pour ne pas pointer les vraies responsables : les politiques d’austérité. Les jeunes trinquent, les parents trinquent, pendant que les actionnaires touchent les milliards, et remercient le gouvernement.

En réalité, toutes ces peines seront utilisées contre les mobilisations lycéennes, visant les « fauteurs de troubles » ou ceux qui contestent les valeurs dites « républicaines » : le gouvernement espère prévenir toute contestation de l’ordre social. L’ultraconcentration des richesses pour les milliardaires et le travail et le bâton pour les pauvres.

Notre meilleure arme : la lutte !

Ce gouvernement a peur des futures contestations de la jeunesse et il cherche les moyens de la mettre au pas. Pour cela, il veut déployer un paquet de mesures dégueulasses : service national universel, uniformes, permanence scolaires, internats, sanctions dès le primaire…

Nous devons toutes les refuser ! Il faut mettre un frein à cette politique austéritaire et à toute la politique propatronale de Macron. Celui-ci prépare un nouveau lot de mesures contre les travailleurs avec des réformes en préparation sur le Code du travail, la fonction publique et la Sécurité sociale. Nous serons massivement dans la rue le 1er mai pour exprimer notre rejet de cette politique. Donnons-nous les moyens d’empêcher les projets d’Attal, discutons partout de la nécessité de construire une mobilisation contre ces mesures et pour nos revendications.

Nous ne serons pas la génération sacrifiée. Soyons la génération révolution !

C’est ce que nous portons dans la campagne européenne avec notre liste « Pour un monde sans frontières ni patrons, urgence révolution ! »

Communiqué du NPA jeunes du 19 avril 2024

samedi 20 avril 2024

LOUP

 

Pour les gardiens de troupeaux, le loup, c’est le propriétaire de la bergerie

Source de l’image : site du syndicat CGT des gardiens de troupeaux : https://sgtcgt.noblogs.org/

Parmi les images d’Épinal de l’agriculture il y a les troupeaux qui pâturent paisiblement les montagnes à la belle saison. Dans l’imaginaire et plus récemment dans le débat politique, et tout particulièrement à gauche, le pâturage s’est imposée comme une solution qualitative et à taille humaine contre la si décriée viande industrielle.

Mais au-delà des représentations idéalisées, la réalité est bien différente. Pour que les bêtes estivent en altitude, il faut que des vachers, des chevriers et des bergers (pour les brebis) s’en occupent. Et ceux-là, salariés par les éleveurs qui possèdent les troupeaux, subissent l’exploitation la plus féroce.

Vous avez dit « vie au grand air » ?

Une saison d’estive, c’est au moins cinq mois entre mai et octobre. Durant ces cinq mois, le gardien, ou la gardienne, n’a pas vraiment de temps mort. Tous les jours, du matin au soir, il faut surveiller les bêtes, les déplacer d’une zone de pâturage à une autre, effectuer les soins requis ainsi que la traite dans les exploitations laitières. La nuit, même si les animaux sont dans un enclos électrifié, le sommeil n’est que d’une oreille car, dans les montagnes, les loups rôdent et peuvent attaquer.

Les semaines font 35 heures sur le papier, mais beaucoup plus dans la réalité, sans paiement de toutes les heures supplémentaires évidemment, et parfois d’aucune d’entre elles. Elles durent six jours, parfois sept car même si le repos est obligatoire, certains éleveurs s’assoient dessus. Les gardiens sont logés sur place, dans des conditions variables. Seules les cabanes en dur sont légales, mais parfois, il n’y a qu’une caravane ou pire, une tente. Et même dans les cabanes, le confort peut laisser à désirer. Il se peut ainsi que l’eau, issue de sources captées, soit contaminée.

Tout ça pour un salaire dérisoire sur lequel il faut en plus entretenir son équipement (chaussures, parapluie en bois qui coûte jusqu’à plus de 200 euros) et son chien ! Si les gros chiens blancs qui protègent les bêtes, les « patous », sont possédés par les éleveurs propriétaires des troupeaux, chaque berger en a également un qui l’aide à conduire le bétail (typiquement, un border collie).

À la fin de la saison, les gardiens enchainent sur une nouvelle saison d’hiver, ou bien passent quelques mois au chômage pour se reposer, avant d’attaquer l’année suivante, mais sans garantie de retrouver une place, puisque les contrats saisonniers sont par définition à durée déterminée. On dit qu’en moyenne, un gardien fait cinq saisons avant de changer de secteur…

Petits exploitants mais gros exploiteurs

De l’autre côté de l’exploitation, il y a les éleveurs, propriétaires des troupeaux. Pour atteindre la taille critique qui leur permet d’embaucher avec profit un gardien, ils s’organisent en « groupement pastoral ». Tandis qu’une exploitation ovine (brebis) compte en moyenne 80 têtes de bétail, un berger peut en avoir jusqu’à 1500 voire 2000 à l’estive… Il se retrouve donc face à plusieurs patrons coalisés tandis que lui ne peut guère compter sur plus d’un collègue pour se battre avec lui. Autant dire que le rapport de force est franchement en sa défaveur.

Certes, les petits éleveurs sont eux-mêmes sous la pression des banques, de leurs fournisseurs, des industries agro-alimentaires, de la grande distribution… Ils ne manquent pas, d’ailleurs, de le répéter aux gardiens pour justifier des conditions déplorables dans lesquelles ils les mettent ! Mais pourquoi serait-ce à ces derniers de payer pour que, au bout du compte, ce soient les grands capitalistes qui s’enrichissent ?

Les petits exploitants sont bien victimes d’un système capitaliste qui leur fait croire qu’ils sont maîtres de leur ferme alors qu’ils sont soumis à plus gros qu’eux. Et pour nourrir les profits de ces « gros », il faut, en plus d’une sévère exploitation du prolétariat agricole, de nombreuses aides publiques. Les aides directes de la politique agricole commune (PAC) représentent 165 % du résultat courant des exploitations ovines et caprines (chèvres)1. Et la quasi-intégralité du salaire des bergers et chevriers est payée par les aides du « plan loup » pour lutter contre ce prédateur.

De leur côté, les gardiens de troupeaux s’organisent pour défendre leurs intérêts. À travers les massifs, collectifs voire syndicats se montent. Des rassemblements sont organisés pour mettre la pression sur les éleveurs et leur organisation représentative, la FNSEA (voir encadré ci-dessous).

C’est de là, des luttes des prolétaires de l’agriculture et de l’agro-alimentaire, que peut surgir une perspective contre ce capitalisme qui les exploite et qui fait le baiser de la mort aux petits exploitants. Au plus fort du mouvement des agriculteurs, le syndicat CGT des gardiens de l’Isère avait, dans un communiqué, dénoncé les hommes d’affaires de la FNSEA et appelé à « des convergences nouvelles entre la classe ouvrière et les petits paysans exploités » pour imposer la « socialisation de l’agriculture ». Les formes que prendraient cette socialisation restent à définir, mais l’orientation à prendre est bien celle-là.

Bastien Thomas

 


 

La FNSEA, c’est aussi et surtout un syndicat patronal

Depuis 2020, une nouvelle convention collective nationale de la production agricole est en vigueur. Elle est venue remplacer la myriade des conventions territoriales ou professionnelles qui existaient jusque-là. La FNSEA, principal syndicat agricole c’est-à-dire principale organisation patronale du secteur, voulait en profiter pour s’attaquer aux maigres avantages dont pouvaient bénéficier certaines fractions du prolétariat agricole. Par exemple, les éleveurs des Hautes-Alpes étaient obligés de payer les gardiens à 44 heures par semaine, avec majoration des heures au-delà de 35. Ailleurs, les contrats font souvent 44 heures, mais dans ce département, impossible d’y déroger. Bon, cela fait tout de même 7 h 20 sur six jours, soit toujours en dessous de la réalité du travail : c’est dire les « privilèges » qu’il était urgent d’abolir…

Finalement, la convention a prévu que ces avantages locaux perdurent sous la forme d’accords collectifs à définir dans le cadre d’un dialogue social bien cadré. Et comme on pouvait le craindre, la FNSEA s’est montré beaucoup moins coopérative quand il a fallu passer aux négociations concrètes. Dans la foulée du mouvement des agriculteurs de cet hiver, se sentant pousser des ailes, trois sections départementales de la FNSEA ont même dénoncé les accords déjà conclus !
 


 

1 https://www.inrae.fr/actualites/comment-pac-soutient-elle-revenu-agriculteurs

reu

 


lundi 15 avril 2024

SOUS

 


ALGUES

 

Pétition : La vérité sur la mort du joggeur dans les algues vertes en 1989

"Je ne lâche pas ! " 35 ans après la mort d’un joggeur, Pierre Philippe, ancien médecin urgentiste à l’hôpital de Lannion, a écrit au ministre de la Justice pour demander le rapport d’autopsie d’un jeune homme décédé sur une plage bretonne au milieu des algues vertes.

[ 588 participations ]

Pour aller directement à la signature Cliquez ici

recommander par courriel    partager sur framasphère

 

Pétition mise en ligne le 14 avril 2024

Proposée par Cyberacteurs
En soutien à Pierre Philippe médecin urgentiste


Elle prendra fin le : 14 juillet 2024

Plus d'infos

H2SC’était l’été 1989. Pierre Philippe était médecin aux urgences de Lannion. Un jour, on lui a amené le corps sans vie d’un jeune homme de 28 ans. Le joggeur avait été retrouvé dans un amas d’algues vertes sur la plage de la Lieue de Grève au fond de la baie de Lannion à Tréduder contiguë à Saint-Michel-en-Grève dans les Côtes-d’Armor. Quand il ouvre la housse dans laquelle le corps est enfermé, l'odeur des algues en décomposition est si insupportable qu'il doit tout arrêter. 
Le médecin ne comprend pas comment un sportif, jeune, apparemment en pleine forme, a pu succomber. Il soupçonne les algues vertes et demande une autopsie.

Les algues tueuses ?

Lorsqu’elles se décomposent sur les plages, les algues vertes dégagent du H2S, sulfure d'hydrogène. Un gaz qui peut se révéler très dangereux, notamment, en cas d’effort. "On l’a vu depuis", constate le médecin.

En 1999, un ramasseur d’algues perd connaissance dans la même baie de Saint-Michel. Il reste cinq jours dans le coma. En 2008, deux chiens trouvent la mort sur la plage d’Hillion. En 2009, un autre ramasseur d’algues, Thierry Morfoisse décède à bord de son camion après une journée à transporter des algues en putréfaction. Quelques semaines plus tard, c’est un cheval qui tombe, cheval intoxiqué à côté de son cavalier victime de la même intoxication sur-aiguë. Il est sauvé de justesse grâce à l'intervention d'un ramasseur d'algues avec son tracto-pelle.
En 2011, 36 sangliers En 2011, ce sont 36 cadavres de sangliers qui sont retrouvés pendant le mois de juillet dans l'estuaire du Gouessant et les plages de la Grandville et Hillion à l'est de la Baie de Saint-Brieuc classée réserve naturelle et inscrite comme site Natura 2000. Après analyse des cadavres les deux organismes publics l'ANSSES et lINERIS révèlent la présence dans les tissus des animaux d'hydrogène sulfuré à des doses mortelles et concluent à la cause hautement probable d'une intoxication à l'hydrogène sulfuré.
En 2016, un autre joggeur est retrouvé est retrouvé mort le nez dans la vase du même estuaire du Gouessant.

Aujourd'hui la justice, par un jugement au Tribunal Administratif de Rennes, a forcé les autorités à reconnaître la mort du cheval par intoxication à l'hydrogène sulfuré des marées vertes en 2009 sur la plage de la Lieue de Grève en baie de Lannion. Pour les sangliers de la Baie de Saint-Brieuc en 2011, même diagnostic établi par deux instituts publics de santé, l'ANSSES et l'INERIS.

Première salve de courriers il y a 15 ans

En 1989, l’autopsie du jeune joggeur a bien eu lieu. Pierre Philippe a été en contact avec un des deux médecins qui l’a pratiquée. Mais il n’en a jamais eu les résultats. Il vient encore une fois de les demander, en s’adressant cette fois au ministre de la Justice !

Je ne lâche pas, quitte à paraître pénible, je ne lâche pas ! Je veux clore cette histoire.
Pierre Philippe

Le médecin avait déjà réclamé ces documents à la justice, il y a 15 ans… Il avait adressé différents courriers : d’abord au tribunal de Guingamp, puis à celui de Saint-Brieuc, à la cour d’appel de Rennes. Au bout de six ou sept lettres sans réponse, il avait renoncé.

À l’époque, il souhaitait publier un article scientifique sur la dangerosité des algues, pour que les médecins confrontés à des décès dans les mêmes conditions, soient informés. L’article est sorti sans l’autopsie. Il y fait référence, mais… a laissé un sentiment d’inachevé à Pierre Philippe.

Un silence assourdissant

À l’occasion de la sortie du film Les algues vertes, inspiré par la bande dessinée d’Inès Léraud, Algues vertes, l’histoire interdite, le médecin a eu envie de mettre un point final à cette triste histoire.
"Je me suis dit, maintenant, la messe est dite. Cette mort, ce n’est plus un mystère. Ce jeune homme est décédé à cause des algues vertes. Comme le cheval, les sangliers, il n’y a plus de doute sur les causes du drame…"

Il a repris sa plume et recommencé à expédier ses lettres. Une première missive en juillet au procureur de la République de Saint-Brieuc, puis une autre avec accusé de réception, puis une troisième à Rennes. Chaque fois, ses lettres sont restées sans réponse.

En mémoire de ce jeune homme

"Ce silence ne fait qu’engendrer de la méfiance et de la défiance vis-à-vis des autorités, regrette le médecin. C’est Kafka, Ubu… je ne sais plus."
Cela ne me satisfait pas de savoir qu’un jeune homme est mort il y a 35 ans et que des éléments nous soient toujours cachés.
Pierre Philippe

"Je n’ai rien à gagner dans cette histoire-là, tous les éléments sont suffisants pour dire que les algues vertes ont tué. Mais cela ne me satisfait pas de savoir qu’un jeune homme est mort il y a 35 ans et que des éléments nous soient toujours cachés."
"C’est un peu comme un cold case, compare-t-il. Parfois, on finit par trouver ce qui s’est passé. Cela ne fait pas revenir la victime, ça ne change pas le cours des choses mais au moins, on sait ce qui s’est passé." 

L’urgentiste aimerait des réponses et continuera de se battre en mémoire de ce jeune joggeur et des autres victimes des algues vertes.

Pierre Philippe et l'association Défense des Victimes des Marées Vertes demandent à l'ARS une étude épidémiologique. "On sait qu’en cas de forte concentration, les algues vertes peuvent tuer, mais on ignore ce qui se passe dans les organismes qui sont en contact régulier avec les algues."

Les années passent, mais l’urgentiste n’entend pas baisser les bras. Nous vous proposons de nous joindre à lui pour réclamer des réponses à toutes ses questions.

Sauvegarde du Trégor Goëlo Penthièvre a sollicité l'ARS pour qu'elle accorde son soutien à ce médecin courage. Dans le même temps, elle s'est adressée au procureur de Saint-Brieuc pour qu'il réponde à la demande de Pierre Philippe.

Rappel Pétition : Justice pour Thierry Morfoisse
https://www.cyberacteurs.org/cyberactions/justicepourthierrymorfoisse-6508.html  

Texte de la pétition

Les soussignés se joignent au médecin urgentiste qui, depuis 35 ans, se bat pour avoir les résultats de l'autopsie du corps du joggeur retrouvé dans un amas d’algues vertes sur la plage de Saint-Michel-en-Grève.

 

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