vendredi 1 décembre 2023

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Soutenir financièrement le NPA


Pour financer son combat révolutionnaire, le NPA ne peut compter que sur le soutien de celles et ceux qui le partagent. Nous ne touchons aucune subvention de l’État et nous n’avons que des ennemis dans le grand patronat ! Nous nous tournons vers vous, jeunes, travailleuses et travailleurs, pour financer nos activités : meetings, tracts, bulletins, affiches – le NPA est un parti militant, toujours en campagne, et pas seulement à l’occasion des élections !

Les dons donnent droit à une réduction d’impôt de 66 % de ce don (dans la limite de 20 % du revenu imposable). Ainsi un don de 100 euros donne droit à une réduction d’impôts de 66 euros l’année suivante, si le montant de l’impôt sur le revenu dépasse cette somme.

Les dons se font auprès de l’association de financement NPA Souscription, agréée pour le financement du Nouveau Parti anticapitaliste (agrément délivré par la CNCCFP le 6 avril 2009).

Seules les personnes résidant en France ou bien de nationalité française peuvent verser des dons.

En outre, la loi 88-227 du 11 mars 1988 indique que :

  • «  Les dons consentis et les cotisations versées en qualité d’adhérent d’un ou de plusieurs partis politiques par une personne physique dûment identifiée à une ou plusieurs associations agréées en qualité d’association de financement ou à un ou plusieurs mandataires financiers d’un ou de plusieurs partis politiques ne peuvent annuellement excéder 7 500 euros. » (premier alinéa de l’article 11-4).
  • « Les personnes morales à l’exception des partis ou groupements politiques ne peuvent contribuer au financement des partis ou groupements politiques, ni en consentant des dons, sous quelque forme que ce soit, à leurs associations de financement ou à leurs mandataires financiers, ni en leur fournissant des biens, services ou autres avantages directs ou indirects à des prix inférieurs à ceux qui sont habituellement pratiqués » (3e alinéa de l’article 11-4).
  • « Ceux qui ont versé des dons à un ou plusieurs partis politiques en violation de l’article 11-4 sont punis d’une amende de 3 750 euros et d’un an d’emprisonnement » (premier alinéa de l’article 11-5).

 


 

Par chèque​

Vous pouvez dès maintenant verser un don en nous envoyant un chèque à l’ordre de « NPA Souscription » à cette adresse :

Révolutionnaires – journal du NPA
BP 60008
94201 IVRY CEDEX

Ce chèque doit être accompagné des informations du formulaire à télécharger.

Pour tout renseignement complémentaire, pour information sur d’autres moyens de paiement, adressez un mail à souscription@nouveaupartianticapitaliste.fr

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État d’Israël assassin, États impérialistes complices

Publication le 27 novembre 2023

La trêve a démarré vendredi dernier pour cinq jours. Un moment de répit bien trop bref pour les populations civiles. Les photos et les vidéos qui nous arrivent mettent des images sur des massacres d’une ampleur inouïe, dont la logique ressemble à celle d’un génocide.

Les bombes n’ont rien épargné, ni personne. Presque quinze mille habitants ont trouvé la mort, dont quasiment une moitié d’enfants. Les hôpitaux sont éventrés et ceux qui tiennent encore debout ne fonctionnent plus, faute de carburant et d’électricité. La moitié des bâtiments serait en ruine.

Le gouvernement israélien prépare une nouvelle offensive

Le gouvernement d’extrême droite israélien a tergiversé avant d’accepter la trêve avec le Hamas. Et pour cause ! Interrompre la guerre pour libérer des résidents d’un kibboutz plutôt laïc et marqué à gauche, des jeunes fêtards et des travailleurs d’origine thaïlandaise, ça avait de quoi rebuter les colons et les religieux au pouvoir. Ce qui les a finalement convaincus, c’est la promesse qu’ils se sont faite de reprendre l’attaque de plus belle à la fin du cinquième jour !

Ce que veut le gouvernement au pouvoir en Israël, c’est la guerre totale pour continuer le processus de colonisation. De son point de vue, la trêve, qu’elle dure cinq jours ou un an, n’est qu’une pause entre deux effusions de sang. Les grandes puissances impérialistes laissent faire, car elles comptent sur l’État d’Israël pour faire la police dans la région. Il n’y aura pas de paix sans renversement de ce système capitaliste qui maintient dans l’oppression les populations palestiniennes et qui sème la guerre à travers tout le Moyen-Orient.

Et ici, les attaques continuent contre ceux qui expriment leur solidarité

En France, le gouvernement tente de faire passer tout soutien aux Palestiniens pour de l’antisémitisme. Il espère imposer le silence, voire la résignation. À Grenoble, après une campagne du Crif, une réunion publique du NPA intitulée « Israël assassin, impérialistes complices » a été interdite par la préfecture. À Paris, des organisations violentes d’extrême droite sionistes, la LDJ et le Bétar ont tenté une incursion dans la manif contre les violences faites aux femmes, assimilant par leurs mots d’ordre les manifestantes et manifestants au Hamas.

Au fond, leur argument est que toute critique de l’État d’Israël, militariste et colonial, est une attaque contre les Juifs en général. Mais assimiler l’ensemble d’un peuple, dont une partie crie d’ailleurs « pas en notre nom ! » à propos des massacres, à la classe dirigeante israélienne, n’est-ce pas un peu… raciste ? Que dirait-on de celui qui amalgame toute une population avec quelques dirigeants, par exemple, les Russes avec Poutine ou les Français avec Macron ?

Le raccourci imposé par le gouvernement est en fait antisémite. Il vise à écraser sous un tombereau d’accusations tous ceux qui expriment leur solidarité avec les Palestiniens. Macron ne veut pas voir à Paris 300 000 personnes dans les rues comme à Londres, il ne veut pas que les universités françaises s’agitent comme les universités américaines. Il voudrait que tout le monde marche au pas.

Mais nous, travailleurs et travailleuses, ne marcherons pas. En manifestant, en nous organisant, en faisant entendre une autre voix, la nôtre, nous les gênons. Sur ce sujet-là comme sur tous les autres qui nous préoccupent, nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes. Les organisations politiques de gauche et les confédérations syndicales sont aux abonnés absents, car elles refusent, au mieux, d’engager le bras de fer avec le gouvernement, et au pire, n’ont avec lui, au fond, que des nuances et des différences d’appréciation. Il n’y a rien à en attendre, alors rentrons nous-mêmes dans l’action !

Samedi 2 décembre, partout en France, soyons des dizaines de milliers à manifester pour l’arrêt des massacres à Gaza et contre la colonisation.

Éditorial du NPA du 27 novembre 2023

 

mardi 28 novembre 2023

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 En réponse au  NPA dit officiel sur la censure des comptes sur le réseaux sociaux


Communiqué. Philippe Poutou et Olivier Besancenot doivent faire immédiatement réouvrir les comptes du NPA et du NPA-Jeunes sur les réseaux sociaux !


Publication le 26 novembre 2023






  • Note du comité Nathalie Le Mél du NPA Côtes d'Armor:
  •  nous assumons cette déclaration de la direction de notre parti. Notre comité avait choisi à une très large majorité de soutenir la plateforme C lors du dernier congrès. Mandatés sur la motion "continuer le NPA" les deux délégués directs de notre comité ont assisté au congrès du début à la fin. 
  • Ils ont malheureusement constaté sur place le sectarisme de l'ancienne majorité et le jeu de dupe provoqué par deux interruptions de séance. 
  • Depuis le congrès nous avons maintenu l'activité du comité y compris en y associant ceux des militants qui se sont prononcés pour l'autre option. Chacun va être amené à prendre ses responsabilités:
  • Suivre l'improbable attelage de la France Insoumise en espérant quelque hypothétique poste d'élu ou se battre pour une alternative révolutionnaire et anticapitaliste.

  • Mais malheureusement, en ciblant le pouvoir ou les Gafam, nous nous sommes trompés. Inimaginable mais vrai : le coup n’est pas venu de ceux-là mais de nos anciens camarades, autour d’Olivier Besancenot et Philippe Poutou, qui en décembre 2022 ont quitté le congrès du NPA pour s’orienter vers un rapprochement politique avec la France insoumise. De notre côté, NPA et NPA-Jeunes, sans aucun sectarisme politique ni abandon de participation à des cadres unitaires, nous avons tenu à maintenir un cap révolutionnaire indépendant, communiste et internationaliste.

    Il va sans dire que nous sommes atterrés par le fond et les moyens de cette censure de nos moyens d’expression numériques, comme une imprimerie qu’on brûlerait. Un geste à juste titre incompris d’une grande partie des militants et apparemment décidé et pleinement assumé en petit comité, en cachette de ses propres militants, par une direction qui depuis aurait admis que cette « attaque » aurait été « en effet très violente », avoué aussi qu’elle « n’en tirait aucune fierté ». Ni Olivier Besancenot ni Philippe Poutou n’ont communiqué personnellement sur le sujet. C’est bien sûr l’indignation, la stupéfaction et bien des interrogations car dans un communiqué du 20 novembre dernier, dans lequel ces camarades tentent désespérément de s’expliquer sur ce front commun qu’ils ont fait avec les Gafam contre des militants révolutionnaires, ils concluent sur leur « espoir de trouver un accord à l’amiable » avec nous…

    Oui, le NPA a connu une séparation il y a bientôt un an, pour les raisons fondamentalement politiques évoquées plus haut, d’orientation par rapport à la gauche. Les camarades autour de Philippe Poutou ont choisi de quitter, en décembre dernier, le congrès où cette politique n’aurait pas eu de majorité, tandis que notre NPA et le NPA-Jeunes ont poursuivi et mené statutairement à leur terme les travaux de ce congrès, à un effectif de délégués représentant un peu moins de la moitié des adhérents mais la totalité de son secteur jeunes, au total quelque 800 militants. Le NPA a donc, par leur choix, été scindé. Il s’en est indéniablement suivi un conflit de légitimité et de partage des moyens militants qui n’est pas résolu à ce jour. Mais cette situation évidemment conflictuelle n’autorise pas l’ancienne direction à contester aux NPA et NPA-Jeunes, qui ont défendu au dernier congrès la nécessité de « continuer le NPA », la légitimité partagée d’un combat et d’une histoire – et le partage raisonnable des moyens matériels de militer. Et ne l’autorise surtout pas à le faire par des actes aussi fous au regard de notre morale révolutionnaire que la censure par le truchement des Gafam. En conséquence, nous demandons qu’en toute urgence soient restaurés nos comptes nationaux et locaux du NPA et NPA-Jeunes, par intervention de ceux qui en ont demandé la fermeture. Condition nécessaire, si ce n’est suffisante, à toute discussion « à l’amiable ».

    Notre légitimité de NPA issu de son dernier congrès, nous l’avons montrée lors de la tenue et poursuite à son terme de ce congrès, mais aussi et surtout depuis presque l’année maintenant qui nous en sépare : par notre militantisme politique et syndical de terrain dans les entreprises, les quartiers, les lieux de scolarisation de la jeunesse, par nos manifestations et apparitions publiques dont nos meetings et cortèges dans les nombreuses mobilisations sociales et politiques que nous avons connues, par nos Rencontres d’été révolutionnaires auxquelles ont participé des militants révolutionnaires d’autres pays, par notre site internet et notre journal Révolutionnaires, par les invitations et prestations de nos porte-paroles dans les médias. Contester notre existence en tant que NPA – indéniable et reconnue par bien des médias régionaux et nationaux – relève d’un déni de réalité (d’où découle ce refus têtu de tout partage équitable des moyens de militer) dont les camarades autour de Philippe Poutou et Olivier Besancenot vont immanquablement devoir se défaire. Chercher, par tous les moyens, à contester notre identité politique et à nous priver de nos moyens d’expression relève de pratiques qui doivent être bannies du mouvement ouvrier révolutionnaire.

    Le comité exécutif du NPA et BSJ du NPA-Jeunes, le 26 novembre 2023

     

    A propos des comptes du NPA sur les réseaux sociaux

    Une pétition en ligne « stoppons la censure contre le NPA et le NPA jeunes » a été lancée le mardi 14 novembre 2023. Nous souhaitons rappeler les faits. Comme il est facile de le constater, les comptes officiels du NPA sur les réseaux sociaux sont toujours fonctionnels :

    Ladite pétition concerne donc en réalité les comptes de la scission minoritaire qui correspond à la « plate-forme C » du 5e congrès du NPA tenu en décembre 2022. Ayant fondé sa propre organisation, celle-ci ne dispose ni de la légitimité politique, ni des droits d’utilisation du nom et du logo du NPA, quels que soient le support et la destination (information, appel aux dons, etc.).

    samedi 25 novembre 2023

    coordi

     




    « Pas essentiel ? »
    L’intervention de la Coordination Santé en plein Costra le lundi 13/11 aura eu le mérite de clarifier les choses.
    Les Carhaisiens ont en mémoire cette formule entendue de la bouche de la directrice du CHRU de Brest : « En Guyane, les femmes font 3 jours de pirogue pour aller accoucher, les Centre-Bretonnes peuvent faire 3/4 d’heure de route ».
    Nous avons maintenant notre propre formule du mépris avec ces mots prononcés par le docteur Cynthia Garignon : « Il n’est pas essentiel d’accoucher à Guingamp ».
    Les femmes et les familles du Pays de Guingamp apprécieront…
    Mais il ne faut pas s’arrêter à l’indignation.
    En effet, la fin des accouchements que les autorités nomment encore « suspension » est l’arbre qui cache la forêt. Comme nous l’avions annoncé dès 2018, l’objectif de la restructuration ne s’arrête pas à la fermeture de la maternité. L’objectif est bien de supprimer la permanence des soins à Guingamp.
    C’est aussi la fin de la chirurgie H24 qui figure maintenant dans le projet médico-soignant partagé.
    Faut-il comprendre qu’il n’est pas essentiel d’être opéré en urgence à Guingamp ?
    Car sur ce point, les réactions restent étrangement discrètes et mesurées...
    Par exemple du côté du président de la commission des usagers, qui n’émet que 3 réserves sur ce fameux PMSP : l’absence des soins palliatifs, les transports de patients et… l’oubli du développement durable. Rien sur la perte de la maternité et de la chirurgie conventionnelle. Si c’est ainsi que l’on défend les intérêts des usagers, l’ARS peut restructurer en paix en affirmant avoir concerté largement, y compris les représentants des usagers.
    Et du côté des élus, qu’entend-on ? « Rouges de colère » ... Encore ? Le 11/12/2021, ils avaient déjà exprimé cette colère légitime en comprenant enfin les intentions de l’ARS et de la direction du GHT.
    2 années de colère. Soit. Mais encore ? Des panneaux avec des coeurs à l’entrée des communes. Un car affrété par l’agglo pour la manifestation de Quimper le 30/09, mais aucun élu présent.
    Le 17/10, les élus de GPA devaient se prononcer sur le PRS, le plan régional de santé. Ils ne l’ont pas fait. Pourquoi ? A ce jour, nous n’avons toujours pas de réponse.
    En dehors des coups de fil à des ministres déléguées, ou de la troïka de maires costarmoricains reçue ce mercredi à l’Elysée, quid de l’action politique pour notre hôpital de plein exercice ?
    Il y a clairement une rupture d’égalité dans l’accès aux soins. Pour reprendre la formule du gouvernement, nous voulons en avoir pour nos impôts !
    La Coordination Santé communiquera prochainement sur la poursuite du travail engagé cet été avec un avocat. Si les élus sont en panne d’idées, nous ne manquerons pas de les solliciter lors du comité de pilotage que nous organiserons.

    Pour le droit de naître, vivre, travailler, se soigner et décider au pays !

    joncour

        Les suites du dossier d'accueil des réfugiés sur Callac    


    Guy Joncour qui avait soutenu le projet Horizon et s'était opposé ouvertement aux fachos du clan Zemmour est condamné par le tribunal de Guingamp ce 24 novembre 2023. Bizarrement en dépit des rodomontades de  quelques membres de la magistrature, restons discret  sinon la diffamation nous menace...ceux qui ont proféré des menaces de mort ou de viol courent toujours.

    Comme nous le faisons depuis que des poursuites ont été diligentés contre lui le NPA lui apporte tout son soutien.

    dans l'Echo de l'ARGOAT

    Callac. Guy Joncour condamné à trois mois de prison avec sursis pour outrage à gendarme

    Guy Joncour, ancien vétérinaire et partisan du projet Horizon à Callac était jugé ce vendredi 24 novembre au tribunal de Guingamp, pour des outrages à l’encontre d’un gendarme.

    Des gendarmes étaient présents ce vendredi matin  pour sécuriser les abords du tribunal de Guingamp, craignant peut-être des heurts entre partisans et opposants à Guy Joncour et au projet Horizon.
    Des gendarmes étaient présents ce vendredi matin pour sécuriser les abords du tribunal de Guingamp, craignant peut-être des heurts entre partisans et opposants à Guy Joncour. Les tensions se sont cristallisées autour du projet Horizon, qui prévoyait l’accueil de migrants à Callac. ©Edouard KERFRIDEN

    La sentence a été prononcée ce vendredi 24 novembre 2023 au tribunal de Guingamp. Guy Joncour, ancien vétérinaire de Callac et défenseur du projet d’accueil de réfugiés Horizon, a été condamné à trois mois de prison avec sursis, assortis d’une amende de 300 €, ainsi que l’obligation de verser 500 € de dommages et intérêts au major Malargé, commandant de la brigade de gendarmerie de Callac.

    Il était accusé d’outrages à l’encontre de ce gendarme, dépositaire de l’autorité publique.

    Des gendarmes déployés devant le tribunal, en prévention.

    La précédente audience, le 15 septembre à Guingamp, avait été agitée. À l’extérieur, des soutiens de Guy Joncour s’étaient mobilisés sur la place de la République, proche du tribunal. Pour cette raison, des gendarmes avaient été déployés, en prévention, devant le tribunal de Guingamp ce vendredi 24 novembre.

      Cependant, lors de l’énoncé du délibéré ce vendredi, bien que quelques détracteurs et soutiens de l’accusé fussent présents, l’atmosphère était bien plus apaisée que le 15 septembre dernier.

      Guy Joncour lui-même n’avait pas fait le déplacement au tribunal. « J’ai laissé mon avocat, Maître Laurent Bouilland, gérer la situation. J’avais également quatre amies qui étaient venues assister de ma part au délibéré, dans le public », a expliqué Guy Joncour à l’Echo de l’Armor et de l’Argoat, ce vendredi matin.

      Un SMS envoyé, ainsi que des remarques lors de la cérémonie

      Les faits reprochés au prévenu étaient survenus les 27 décembre 2022 et 28 janvier 2023. Ils impliquaient notamment un SMS insultant qui aurait été envoyé par l’ancien vétérinaire au sujet du gendarme, ainsi que des remarques proférées à l’égard du commandant de brigade Jacky Malargé, en marge de la cérémonie des vœux du maire.

      Des faits contestés par Guy Joncour, qui se réserve le droit de faire appel de sa condamnation : « Je vais en échanger avec mon avocat, mais de mon point de vue, il est hors de question que je paie quoi que ce soit à Monsieur Malargé, alors que je n’ai rien à me reprocher. J’ai de mon côté déposé plainte contre le préfet et le major Malargé ».