vendredi 29 novembre 2019

L ECHO

L'ECHO DE L'ARGOAT

Opération escargot prévue sur la RN12 entre Guingamp et Saint-Brieuc le 5 décembre

La grande journée de grève du jeudi 5 décembre s'annonce agitée. Entre Guingamp et Saint-Brieuc, une opération escargot est organisée sur la RN12. Explications.

Une opération escargot est prévue par les syndicats sur la RN12 entre Guingamp et Saint-Brieuc jeudi 5 novembre.
Une opération escargot est prévue par les syndicats sur la RN12 entre Guingamp et Saint-Brieuc jeudi 5 novembre. (©Echo Argoat)
Les syndicats se mobilisent pour le grand mouvement national de grève du 5 décembre. 
Guingamp par exemple, la CGTFSUFO et Solidaires appellent à un rassemblement sur la place du Vally à 12h. 
Opération escargot
Un départ est ensuite prévu pour rejoindre Saint-Brieuc, pour un grand rassemblement à 13h30, place de la Liberté
Sur le trajet entre les deux villes, les syndicats organiseront une opération escargot sur la RN12
Les automobilistes devront donc éviter l’axe Guingamp-Saint-Brieuc entre 12h et 14h, s’ils ne veulent pas être ralentis. 
La CGT de Guingamp propose aussi des places en cars pour ceux qui voudraient se joindre au mouvement (renseignements au 06 32 26 63 80).

Des rassemblements aussi à Dinan et Lannion

Des rassemblement similaires sont prévus à Dinan et Lannion. Tous convergeront aussi vers Saint-Brieuc aux alentours de midi. 
La CGT appelle à la mobilisation avec un mot d’ordre simple : « Tous ensemble, refusons le projet Macron de réforme des retraites. Stoppons la régression sociale par la grève jusqu’au retrait du projet. »
La grève devrait également être très suivie dans les établissements scolaires, à Guingamp comme dans toutes les Côtes-d’Armor.

5 DECEMBRE

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caravane


5 DECEMBRE 2109

LA CGT COTES D'ARMOR A PREVU DE CAMPER SUR PLACE

STOCK DE 1 000 CARAVANES A CEDER POUR OCCUPER LES BOITES A PARTIR DU 5

Renseignements:
s'adresser en direct au préfet représentant de Macron dans le département ou aux députés LAREM....



jeudi 28 novembre 2019

ANC

Communiqué de nos camarades de l'ANC


Association Nationale des Communistes

Au-delà du deuil nécessaire, la France n’a rien à faire au Mali !

mercredi 27 novembre 2019 par ANC
Bien sûr la première pensée qui vient à l’esprit c’est celle de ces familles qui pleurent un proche, arraché jeune à la vie. Le fait que ces hommes soient volontaires n’enlève rien à l’émotion et au sentiment de révolte que l’on peut ressentir face à la barbarie de la guerre. Pour autant peut-on dire que ces hommes sont morts pour la France comme se plaisent à le répéter les politiques qui nous gouvernent rejoints en cela par nombre de membres de l’opposition qui retrouvent en la circonstance des élans d’union sacrée ?
Non ces hommes ne sont pas morts pour la France ou alors pour celle des riches qui veulent continuer à piller l’Afrique en toute tranquillité. Car la France envoie son armée pour soi-disant combattre le terrorisme au Mali, alors que dans le même temps elle continue de piller les richesses et de contrôler l’économie du mali grâce au franc cfa, ce qui favorise justement l’émergence de groupes terroristes qu’elle a elle-même contribué à créer.
L’argument de la lutte contre le terrorisme ne tient pas pour au moins quatre raisons :
  • -D’abord une raison de droit international. Le Mali est un pays souverain et en quoi la France serait-elle plus qualifiée que l’ONU pour décider des formes d’intervention qu’il y a lieu d’avoir pour que cet état fasse respecter sa souveraineté ? Si intervention il doit y avoir cela ne peut être que celle d’une force sous commandement de l’ONU et de l’UNION AFRICAINE en accord et à la demande des États de la Région.
  • -Ensuite il y a une raison de sécurité. S’il y a effectivement danger terroriste le fait que ce soit l’armée française seule qui soit en première ligne de ce combat expose particulièrement la population de notre pays aux attaques de ceux que le gouvernement français combat et à leurs soutiens ailleurs dans le monde.
  • -Seul le peuple malien est qualifié pour choisir démocratiquement son avenir. Contrairement aux assertions du président français, l’intervention étrangère n’a pas éradiqué le djihadisme, mais a au contraire nourri l’intégrisme, et les trafics d’armes, de drogue et d’hommes, qui alimentent les groupes djihadistes.
  • -Enfin d’un point de vue militaire même, le fait qu’après des mois de combats, dans un pays que la presse, toujours complaisante, présente comme une zone grande comme l’Europe (sic !) l’armée d’un des pays les plus riches et les mieux armés du monde ne soit pas venue à bout de quelques centaines de combattants montre toute l’inanité de cette guerre qui ne dit pas nom.

Le camp progressiste s’honorerait à réclamer fermement et à agir pour le retrait des troupes françaises d’Afrique, l’arrêt du pillage de ses richesses et le recours à l’ONU pour aider à ce qu’enfin revienne la paix sur ce continent qui a besoin de tout, sauf des armes.
   

lundi 25 novembre 2019

OB

humm ma
Le NPA BRETAGNE B5 aura un stand ce week end à la féte de l'Huma Bretagne

jeudi 21 novembre 2019

HOSTO

LE TELEGRAMME






Ni infirmiers, ni aides-soignants, les manipulateurs radio se mobilisent pour une revalorisation de leur profession et de meilleures conditions de travail.
Ni infirmiers, ni aides-soignants, les manipulateurs radio se mobilisent pour une revalorisation de leur profession et de meilleures conditions de travail. (Le Télégramme/Emmanuel Nen)

Second jour de grève en sept jours, jeudi, pour les manipulateurs radio de l’hôpital de Guingamp. Les « laissés pour compte » ont pu exprimer leurs revendications à la direction.






© Le Télégramme https://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/guingamp/le-signal-d-alarme-des-manips-radio-de-l-hopital-21-11-2019-12439007.php#Zlmz9VJr4MWR7gsu.99

diro


Jeudi 21 novembre  Grève à la DIRO Côtes d'Armor, pour le service public et les rémunérations des personnels.


Aperçu de l’image

mardi 19 novembre 2019

CCCP T

Un communiqué du CCCP-Trégor (*)



Nous publions cet article que nous a fait parvenir nos camarades de Lannion.


MUNICIPALES LANNION


La charrue avant les boeufs !


Ca y est, la fumée blanche est sortie de la cheminée de Ste Anne. On reprend les mêmes et on y ajoute les concurrents d’hier et un petit brin d’autonomistes.

Cette liste qui s’autoproclame “de gauche, sociale et écologique” sans dévoiler de programme, ni de noms (la lutte des places risque d’être acharnée) oublie ou fait semblant d’oublier que les municipales ne peuvent faire l’impasse des politiques nationales menées pendant des années par le PS et les Verts (et même par le PCF sous Jospin) contre les salariés, les chômeurs, les retraités ...

Les composantes locales de ces organisations ont-elles tiré publiquement un bilan sans concession de leurs passsages au gouvernement ? La réponse est malheureusement NON !

Pourtant, la question programmatique est fondamentale. Les discussions devraient être conditionnées par cet aspect. Quel programme défendre localement ? Quelles autres organisations sont susceptibles de partager tout ou partie de ce programme ?

La question de l’union est donc SECONDE et tributaire des objectifs qu’on se donne. Elle prend appui sur les revendications de la population, des travailleurs et est à leur service exclusif. Les questions du “avec qui, sur quel contenu et comment la bâtir” vient après.

Défendre avec la population TOUS les services publics, agir contre toute tentative de privatisation d’où qu’elle vienne, agir contre les délocalisation et fermeture d’entreprises, agir pour la gratuité des transports publics urbains de LTC et départementaux,… tels doivent être quelques uns des objectifs d’un équipe municipale répondant aux besoins des salariés actifs, sans-emploi ou retraités et de leur famille. Sans oublier l’autre revendication primordiale de la lutte contre le dérèglement climatique, les pollutions diverses et la gestion des ressources ...

Alors que la loi NOTRe a donné plus de compétences aux intercommunalités, dépossédant les communes d’une bonne partie de leurs moyens d’action, ne pas poser la question des conséquences de cette loi sur l’aménagement de notre territoire créera des illusions et des désillusions. A ce sujet, la commune doit avoir comme objectif la réappropriation du PLU et de remplacer la subordination par la coopération intercommunale?.

Mais , au delà de ces élections municipales, il ne s’agit pas tant de rechercher l’union pour l’union en toute circonstance, que de changer en premier l’offre politique pour un changement de société, une république sociale ouvrant la voie au socialisme.

Si vous partagez ce constat et ces objectifs contactez-nous à l’adresse courriel suivante : cccp-tregor@orange.fr


Lannion le 19 novembre 2019




(*) Le Cercle des Citoyens Communistes et Patriotes a pour ambition d’accueillir tous les communistes du Trégor restés fidèles à leur idéal, dans leur diversité, qui pour l’instant sont dispersés ou isolés.

tacle

L’image contient peut-être : 4 personnes, personnes souriantes, texte
Etrange quand même certains sont au NPA

dimanche 17 novembre 2019

begard

OUEST FRANCE


Dans les méandres de la vie politique bégarrroise, il y a de quoi se perdre.Deux listes "d'union de la gauche" vont concourir mais fait extraordinaire la liste du PCF sera sans étiquette!...
Or comme nous l'expliquons souvent là ou il n'y a pas d'étiquette il y a un loup.
Quand à la notion de "sensibilité de gauche", elle nous renvoie sur un politique qui nous a déjà fait le coup:Macron.

Municipales à Bégard. Cinderella Bernard annonce sa candidature pour mars 2020

Après l’annonce du maire sortant de Bégard (Côtes-d’Armor), Vincent Clec’h, de briguer un autre mandat aux élections municipales de mars 2020, à défaut d’union, Cinderella Bernard annonce qu’elle se présente sur sa propre liste à gauche.
La candidate Cinderella Bernard (au premier plan) avec une partie de son comité de soutien.
La candidate Cinderella Bernard (au premier plan) avec une partie de son comité de soutien. | OUEST-FRANCE

Sans doute est-ce un symbole, c’est sur la place Gérard-Le-Caër - « qui se plaisait à dire qu’il était mon parrain en politiqu e » -, que Cinderella Bernard a annoncé la constitution d’une autre liste de gauche qu’elle mènera aux prochaines municipales de Bégard (Côtes-d’Armor), en 2020.
« C’est une liste sans étiquette, une liste de gens de diverses sensibilités de gauche », précise-t-elle, même si elle incarne, pour sa part, le Parti communiste français.

« On a senti qu’il y avait une attente »

« On a sondé la population, on a été à la rencontre du comité de soutien de Gérard Le Caër et on a senti qu’il y avait une attente. » Selon la candidate, les gens étaient dans l’expectative, ne comprenant pas, par exemple, pourquoi Yvan Bourdon, après l’hommage qu’il avait rendu au maire défunt et qui montrait une certaine proximité, avait rejoint la liste de Vincent Clec’h. « Alors, je vais vous dire : c’est moi qui ai écrit l’hommage à Gérard », révèle Cinderella Bernard.

Elle n’exclut pas une triangulaire

Après s’être interrogés sur ce qu’ils pouvaient apporter d’autre par rapport à l’autre liste, la conclusion a été : « On a intérêt à être présent. On a même intérêt à être en tête des résultats si on veut continuer à exister dans la vie communale car il n’y a pas de volonté de rassemblement au second tour », même si, pour sa part, elle y serait favorable car elle n’exclut pas qu’il y ait une triangulaire.

« Un même cap politique, un même cap moral »

Le cap visé par le mandat sera celui que visait le maire défunt – « un même cap politique, un même cap moral » - et le début du mandat sera la continuité de ce qui a été engagé à ce jour « pour répondre aux enjeux sociaux et environnementaux mais aussi moraux parce que nous avons à cœur de défendre les intérêts de la commune et de ses habitants. On a toujours été aux côtés des travailleurs et des personnes dans le besoin et nous voulons garder cette même dynamique ».

« Donner plus de temps »

Autre enjeu exprimé par la candidate : que Bégard prenne sa juste place au sein de l’agglomération. « Aujourd’hui, on trouve que la place occupée par la commune n’est pas à la hauteur de ce qu’elle devrait être et pour cela, cela nécessite d’avoir un maire présent, porteur de sa commune au sein de l’agglomération. » Pour Cinderella Bernard, cela veut dire « donner plus de temps », faire un choix de vie.
Aujourd’hui, la liste est constituée de 20 noms sur les 27. Elle est à parité homme-femme et la candidate aimerait qu’elle représente « un peu tout le monde, dans tous les domaines et dans tous les âges ».

samedi 16 novembre 2019

jean kergrist

HOMMAGE  AU PLUS GRAND CLOWN DE L'HISTOIRE DE BRETAGNE.

Jean KERGRIST fidèle a sa réputation de facétieux a décidé pour nous emmerder de mourir...
ciseauxNe craignant rien, il a du décidé d'aller voir de lui même si le diction:"Ni Dieu Ni maître" avait du vrai.

Jean on te dit donc:
kenavo ha na Doue, na Mestr! 

Photo piqué sur son blog, mais  'y a pas vol juste un emprunt.

sad corong

LE TELEGRAMME


Le personnel a manifesté devant le siège de Maël-Carhaix.
Le personnel a manifesté devant le siège de Maël-Carhaix.

Ce jeudi 14 novembre, le personnel du SAD du Corong a, une nouvelle fois, exprimé son ras-le-bol face à des conditions de travail qui se dégradent, en débrayant pendant une heure. Et avec ce sentiment d’être méprisé par le Département et l’ARS.

Plusieurs rassemblements étaient organisés ce jeudi 14 novembre, à l’initiative de la CGT de Guingamp, pour dénoncer les conditions de travail du personnel des services d’aide à domicile. Mais aussi préparer la grève générale du jeudi 5 décembre.

Surcharge de travail, burn-out…


Les personnels du SAD du Corong, qui englobe désormais les services d’aide à domicile de Callac et Maël-Carhaix ont rappelé, devant le siège de Maël-Carhaix, leurs revendications : surcharge de travail, turn-over pour les salariés en poste, épuisement, burn-out…
 
 
Le SAD, c’est 120 personnes dont une vingtaine en administratif, une vingtaine aux soins à domicile et le reste en aide à domicile. Les grévistes avaient prévenu leur direction qu’elles avaient décidé de débrayer une heure pour se concerter et présenter leurs revendications. Elles étaient soutenues par Lionel Madec, secrétaire de l’UL CGT de Rostrenen, et Marie-Françoise Zanchi, membre du CSE et secrétaire départementale de l’aide et des soins à domicile.

Le sentiment d’être méprisé


Ce jeudi, elles ont notamment exigé : « une convention collective décente, une revalorisation des salaires, une augmentation des remboursements des frais kilométriques, la reconnaissance de la pénibilité, des formations qualifiantes pour tous, une augmentation de l’enveloppe ARS pour les SSIAD (service de soins infirmiers à domicile), plus de postes administratifs… » Et d’ajouter avec conviction : « Nous refusons de continuer à remplir les missions d’intérêt public en étant méprisés par le Département et l’ARS ».

© Le Télégramme https://www.letelegramme.fr/cotes-darmor/mael-carhaix/aide-et-soins-a-domicile-le-personnel-denonce-les-conditions-de-travail-14-11-2019-12433023.php#yTCzhzIdJkjsrLZi.99

vendredi 15 novembre 2019

CSSP

CSSP LANNION


RASSEMBLEMENT A LANNION
DEVANT LA MAIRIE
MERCREDI 20 NOVEMBRE 2019 A 18 H
Venez nombreux, et avec vos enfants
Apportez lumières et tambourins !

20 novembre 2019
JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DE L’ENFANT
30e anniversaire de la CIDE

La convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE) stipule que chaque enfant,  personne à part entière mais vulnérable, a droit à une vie décente, à être protégé, mis à l’abri, soigné, éduqué, nourri, etc.

 Pourtant, quel fossé entre la Convention signée par la France et son application sur le terrain !

Le Collectif de Soutien aux Sans-Papiers de Lannion et de nombreuses associations se battent au quotidien pour le sort de familles étrangères se retrouvant en grande précarité.

Ainsi, ici, à Lannion, 9 enfants de moins de 8 ans et leurs mères isolées ont besoin de :

Bénéficier du soutien et de la protection des services de PMI du secteur (Art. 3 de la CIDE & Art. 43 du code de Déontologie).
  • Trouver un hébergement pérenne après avoir été mis à la rue par le Conseil Départemental et l’AMISEP (Art. 24 de la CIDE).
  • Rester scolarisés dans le même établissement auprès de leurs camarades de classe (Art. 33 & 28 de la CIDE).
  • Continuer à bénéficier de la cantine et du centre aéré gratuits (Art. 24 & 31 de la CIDE).
Texte signé par : CSSP, CCFD Terre solidaire, CGT, EELV, Ensemble 22, FSU, Les Gens heureux, Jamais sans Toit, Meskaj, NPA, PCF, PS, Solidaires 22, Terre des Hommes, UDB

SN PTRI

CONSEIL DEPARTEMENTAL COTES D'ARMOR 

Communiqué de La CGT

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Hiver sur les routes départementales....Régime sans sel et sans chauffeur !!!


Le 14 novembre, au levée du jour, plusieurs accidents et neufs blessés sont à déplorer sur le territoire Costarmoricain, en raison du verglas !

Malgré les alertes météorologiques, le Conseil Départemental n'a pas pu anticiper ce phénomène. Le responsable de cette impuissance est l'entêtement de la majorité départementale à vouloir mettre en place une nouvelle politique de viabilité hivernale, coûte que coûte, pour cet hiver 2019.

Ce 14 novembre au matin, les circuits de salages, l'attribution des saleuses, l'organisation de travail n'étaient même pas finalisés, même pas votés.

Le Conseil Départemental a depuis plusieurs mois décidé de diminuer les moyens consacrés pour le service public d'exploitation des routes, notamment lors de la période hivernale, pour le salage et le déneigement.
Les agents aux côtés de la CGT n'ont eu de cesse de dénoncer cette situation.

La majorité départementale a voté en juillet dernier une réduction du linéaire de route salée, rétrogradant de 1531 Kms traités prioritairement (3 niveaux de service traités prioritairement avant) à 1133 Kms (1 niveau de service traité prioritairement maintenant), sur les 4600 Kms de routes départementales.

De plus, les conditions déclenchant un salage sont rabaissées, entraînant les costarmoricain.e.s à circuler sur des routes avec verglas localisé « condition de circulation dite normale » y compris sur les routes principales, sans intervention des services départementaux.

La CGT alerte sur cette diminution de service public se répercutant irrémédiablement aux costarmoricains (accidents, retard à l'embauche,...)

Nous appelons les costarmoricain.e.s a interpellé leurs élu.e.s départementaux face aux décisions qu'ils votent.

greve bon sauveur

      photo comité npa lgbp

LE TELEGRAMME


Cà bouge sur Bégard, le comité NPA soutient les personnels en lutte.Dommage que l'unité syndicale ne se soit pas construite sur cette action massive et déterminée.
Nous qui étions dans la salle avec les grévistes? nous avons vu la mine piteuse du député Kerlogod, il avait sorti ses fiches" éléments de langage".
Trop malins les grévistes lui ont tourné les talons .
Comment peut il voter le budget de la sécurité sociale et le lendemain dire qu'il soutient les personnels et l'hôpital?
Pitoyable positionnement.

Bon Sauveur. Les personnels manifestent




Un rassemblement imposant, des personnels rappelant leur mot d’ordre : « La santé n’est pas une marchandise ».
Un rassemblement imposant, des personnels rappelant leur mot d’ordre : « La santé n’est pas une marchandise ».
Le syndicat CGT de la Fondation Bon Sauveur appelait l’ensemble des salariés à un débrayage, le vendredi 15 novembre, à 11 h. Il a tenu un meeting en plein air au moment où le conseil de surveillance était réuni. Vers 11 h 30, c’est une forte délégation de personnels qui a fait irruption dans la salle de réunion pour donner lecture des revendications touchant à l’ensemble de la structure et au système de santé en milieu rural et des personnels des services psychiatriques, services sociaux et médico-sociaux. Puis, ils ont quitté la salle sans incident.

jeudi 14 novembre 2019

kerlogot

OUEST FRANCE

Note du NPA :     
     La descente aux enfers de l'opportuniste député de Guingamp continue, selon la presse il a été hué lors de son intervention devant les personnels de l'aide et du soin à domicile.Pas facile de vendre du vent et du baratin devant des salariées qui gagnent un salaire de misère...
     Manifestement, les élus EN MARCHE ont l'ordre de venir au contact avant la journée de gréve du 5 décembre? Pour désarmorcer la grogne grandissante...

Le député hué

Député LREM de la quatrième circonscription des Côtes-d’Armor, Yannick Kerlogot a retrouvé le cortège. Les délégués syndicaux l’invitent à rejoindre le micro. « Le problème est connu et relayé, affirme le parlementaire. On a tous en tête que les conditions de travail se sont dégradées. Je vous apporte tout mon soutien. »
Yannick Kerlogot a assuré les grévistes de son soutien. | OUEST-FRANCE
Le député se dit confiant dans les propositions qu’Agnès Buzyn, ministre de la Santé, devrait faire d’ici la fin de l’année. Les grévistes ne sont pas convaincus : « Buzyn, démission ! Que du blabla ! On a assez attendu ! » C’est sous les huées que Yannick Kerlogot a terminé son intervention.

GREVE

LE TELEGRAMME


Du jamais vu depuis les années 80. Le service d’imagerie de l’hôpital de Guingamp était en grève, jeudi.
Du jamais vu depuis les années 80. Le service d’imagerie de l’hôpital de Guingamp était en grève, jeudi. (Le Télégramme/Emmanuel Nen)

C’est une actualité très sociale, qui a mobilisé le Trégor-Goëlo, ce jeudi. Des manipulateurs radio - qu’on entend peu habituellement - qui se mettent en grève ; des soignants et des aides à domicile qui ressortent les banderoles. Le secteur de la santé ne manquait pas de revendications.

Silence radio. À Guingamp, ce sont les manipulateurs radio qui dénoncent - dans un mouvement quasi inédit - un manque de reconnaissance pour leur profession. « On parle toujours des infirmières et des aides-soignants, jamais de nous », expliquent les membres du service d’imagerie médicale de l’hôpital. Alors que l’activité du service guingampais ne cesse de croître, avec une moyenne de 130 à 150 patients par jour, les manip’radio n’ont pas bénéficié des primes Buzyn et Veil.



L?actu du jour. Silence radio et manque de reconnaissance
A l'Ehpad de Kergomar aussi, on était mobilisé, ce jeudi, comme dans d'autres services de l'hôpital lannionnais. (Le Télégramme / Dominique Morvan)
Journée « hôpital mort ». Dans les hôpitaux aussi, on était mobilisé, ce jeudi. Réunies devant l’Ehpad de Kergomar, à Lannion, des membres du personnel étaient de nouveau mobilisés pour dénoncer l’austérité budgétaire constatée depuis plusieurs années.


« L’impression d’être transparentes ». Profitant de la mobilisation nationale dans le milieu de la santé publique, les professionnelles de l’aide et du soin à domicile du Trégor ont débrayé, ce jeudi, à Paimpol et Lannion. « Il y a des difficultés globales au niveau national mais aussi au niveau plus local », ont expliqué les grévistes. Parmi les revendications, la fin des temps partiels subis, une meilleure reconnaissance et la fin des non-remplacements de postes administratifs, qui diminuent du fait de la fusion des différentes structures d’aide et soin à domicile.




L?actu du jour. Silence radio et manque de reconnaissance
Les aides à domicile ont manifesté, ce jeudi, à Lannion. (Le Télégramme/Valérie Le Moigne)

Territoire cherche médecins. Alors que le département des Côtes-d’Armor est particulièrement sinistré, niveau installation de médecins, pas facile de séduire les praticiens expérimentés ou les nouveaux diplômés. La concurrence est rude, entre les territoires, pour les inciter à s’installer. Outre les créations de maisons médicales et autres centres de santé, les membres du Conseil territorial de santé d’Armor se sont réunis, mardi, à Lannion, pour essayer de trouver des solutions. En attendant, les patients du Trégor Goëlo éprouvent toujours des difficultés pour trouver un médecin référent ou décrocher un rendez-vous chez un spécialiste. Au risque d’encombrer les urgences des hôpitaux.

BELLE ISLE

BELLE ISLE EN TERRE EN GREVE DANS LA SANTE LE 14 NOVEMBRE

Les personnels de la maison de retraite ont débrayé avec le soutien de la CGT et des élus, dont le maire PCF.
Les résidents valident et en fauteuil ont manifesté malgré le froid avec les personnels. Une convergence qui est la démonstration de l'attachement de tous au service public.

asad 2

GREVE DU 14 NOVEMBRE DANS L'AIDE ET SOIN A DOMICILE GUINGAMP.


A l'appel de la CGT et de FO, rassemblement des personnels sur Guingamp.






D'autres rassemblements étaient programmés sur Bourbriac Callac, Belle Isle, Plouaret, Lannion,Paimpol.

MANIP

GREVE DU 14 NOVEMBRE  DANS LA SANTE


Hopital de GUINGAMP

Les manipulatrices et manipulateurs radios en gréve à 100%

Jeunesse

Communiqué du NPA Jeunes. La précarité tue, organisons-nous contre ce système brutal !

Vendredi 8 novembre, un étudiant de Lyon, militant syndicaliste, a tenté de mettre fin à ses jours en s'immolant par le feu devant le bâtiment du Crous. Un acte politique, brutal, né de l’extrême précarité dans laquelle il était contraint de vivre, après avoir perdu sa bourse de 450 euros.

 

Source du communiqué : site du NPA

Dans le post Facebook où il explique son geste, il dit que ce sont « Macron, Hollande, Sarkozy, et l’Union européenne » qui l’ont tué, par leurs réformes libérales qui n’ont eu de cesse de rogner nos conditions d’étude, nos conditions de travail, mais aussi et en dernière instance nos conditions de vie.
Cet évènement tragique est bouleversant pour l’ensemble de la jeunesse, car il est l’expression la plus aiguë et la plus douloureuse de la précarité dans laquelle nous sommes plongés. Précarité économique d’abord, liée à la maigreur de nos revenus, des aides que nous percevons et qui continuent d’être tronquées, au chômage auquel nous devons faire face, aux difficultés du logement qui est notre quotidien. Mais aussi précarité liée à l’incertitude de l’avenir, à la dégradation des rapports humains par une mise en concurrence toujours plus forte à la fac et dans le monde du travail, à la menace croissante de phénomènes de crises économiques, sociales et écologiques dont nous ne sommes pas responsables.

Le NPA Jeunes, organisation anticapitaliste et révolutionnaire de jeunesse, joint sa colère à celles de ses camarades et du reste de la jeunesse. Ainsi, nous appelons à rejoindre les rassemblements qui ont lieu devant les Crous aujourd’hui, mardi 12 novembre. Nous appelons à nous organiser sur nos lieux d’étude et de travail pour apporter une réponse collective à la brutalité de ce système capitaliste, y compris en construisant la grève du 5 décembre et le « touTEs ensemble » contre la réforme des retraites, énième incarnation de la précarisation de la jeunesse et des classes populaires.

Montreuil le mardi 12 novembre 2019

CHERITEL

OUEST FRANCE

La suite du feuilleton des aventures de Jean CHERITEL, comme quoi la justice est rendu par des "juges rouges"...

 

Côtes-d’Armor. Tomates francisées, Chéritel lourdement condamné

Ce jeudi 14 novembre 2019, le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc a condamné le grossiste Chéritel, basé à Guingamp, à payer près de 100 000 € d’amendes et à la confiscation des 248 000 € saisis pour avoir vendu des tomates étiquetées « origine française » achetées à l’étranger.
Le grossiste Chéritel et son EURL ont été condamnés par le tribunal de Saint-Brieuc pour avoir vendu des tomates francisées alors qu’elles avaient été achetées à l’étranger.
Le grossiste Chéritel et son EURL ont été condamnés par le tribunal de Saint-Brieuc pour avoir vendu des tomates francisées alors qu’elles avaient été achetées à l’étranger. | ARCHIVES OUEST-FRANCE
Poursuivi, devant le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc pour tromperie, Jean Chéritel, le gérant de la société Trégor Légumes basée à Grâces, près de Guingamp, et l’EURL ont été condamnés, ce jeudi 14 novembre 2019, à un total de 99 000 € d’amendes. Jean Chéritel écope d’une peine de trois mois de prison avec sursis. Le tribunal a également prononcé la confiscation des 248 000 € saisis sur son compte et celui de la société.
À la suite d’une dénonciation anonyme, la répression des fraudes a enquêté chez le grossiste en fruits et légumes. Au cours de l’été 2017, les enquêteurs ont constaté que les tomates étrangères et françaises mélangées sur les lignes de production quittaient l’usine francisées. Quinze jours après cette première visite, les enquêteurs reviennent sur le site. Ils constatent les mêmes pratiques.

« Pouvait-il faire autrement ? »

Lors de l’audience, Jean Chéritel avait mis en avant la pression commerciale d’un client, auprès de qui il réalisait alors 40 % de son chiffre d’affaires. « Lors de promotion de ce hard discounter, j’étais dans l’incapacité de l’approvisionner en tomates françaises comme il le demandait. » « Il était prisonnier des contrats avec cette centrale d’achat », avait plaidé son avocat Thierry Fillon. « Elle me menaçait de nous déférencer », ajoutait Chéritel. « Son tort, c’est d’avoir accepté. Mais pouvait-il faire autrement ? » s’interrogeait l’avocat
Jean Chéritel avait reconnu la tromperie. Mais n’était pas d’accord avec les tonnages avancés par les enquêteurs. Lui les chiffrait à 185 tonnes, l’administration à près de 800 tonnes.

mardi 12 novembre 2019

BON SAUVEUR

                          BEGARD:

CENTRE HOSPITALIER SPECIALISE DE LA FONDATION BON SAUVEUR

PREAVIS DE GREVE LE 15 NOVEMBRE  A L'APPEL DE LA CGT BON SAUVEUR

RASSEMBLEMENT DEVANT LA SALLE ANNE LE ROY DANS L'ETABLISSEMENT.

CCE

22

 ASAD ARGOAT  :GUINGAMP 10H00 - 11H30 devant le siège , 44 rue maréchal Foch

Bourbriac devant les bureaux, rue de Tournemine

Belle isle en terre 15h-16h30 devant les locaux GP3A, Crec’h Ugen

FUTUR LTS (Plestin, Lannion, Tréguier, Lézardrieux) : 13h30 devant les locaux de Lannion à Kermaria, 11 boulevard Louis Guilloux

ASAD GOELO-TRIEUX Pontrieux devant les locaux, heure à déterminer, 10 place de la liberté 22260
Pontrieux Paimpol, 12h30-14h, centre Dinan
Plouha 13h30-15h, devant le siège, 2 rue Jeanne d’Arc

SAD CORONG(Maël-Carhaix, Callac) : 14h devant le siège à Maël Carhaix, rue de la poste


LE TELEGRAMME

Aide à domicile. Les salariés à bout de souffle

Les organisations syndicales CGT et FO appellent à un rassemblement, jeudi, devant les structures d’aide et de soins à domicile.
Les organisations syndicales CGT et FO appellent à un rassemblement, jeudi, devant les structures d’aide et de soins à domicile. (Le Télégramme/Emmanuel Nen)
Les organisations syndicales CGT et FO tirent la sonnette d’alarme et appellent à la mobilisation, jeudi, devant les structures d’aide et de soins à domicile : les professions d’aides-soignants et d’aides à domicile « sont à bout de souffle » et elles « n’attirent plus », affirment les représentants de l’union locale CGT du pays de Guingamp.
Et Nadège Le Gall, aide-soignante à l’Asad Argoat, de souligner que « tout le monde fait le constat que ça va mal - financeurs, employeurs et élus - mais dans le même temps, rien ne passe alors que la population continue de vieillir. On attendait beaucoup de la loi Grand âge mais elle a été reportée au printemps, probablement après les élections municipales ». Les bas salaires, la faiblesse de l’indemnité kilométrique, la pénibilité et l’amplitude horaire sont autant de contraintes qui « provoquent de grosses difficultés de recrutement ».

Plusieurs actions dans le pays de Guingamp


Le syndicat départemental de l’action sociale CGT-FO a écrit en ce sens un courrier à Alain Cadec, président du conseil départemental des Côtes-d’Armor, dans lequel il lui est demandé « une rencontre dans les meilleurs délais pour examiner la situation ».
Jeudi, plusieurs mouvements sont annoncés dans le secteur guingampais. À Guingamp, rassemblement devant le siège de l’Asad Argoat, de 10 h à 11 h 30, puis distribution de tracts devant le rond-point de Carrefour. À Bourbriac, de 12 h 30 à 14 h, défilé des bureaux de la structure jusqu’à la mairie. À Belle-Isle-en-Terre, rassemblement devant les locaux de GPA. À Plouha, rassemblement devant le siège administratif, de 13 h 30 à 15 h et à Paimpol, devant l’espace Henri-Dunant, de 12 h 30 à 14 h. Enfin, pour le Sad Corong (Callac et Maël-Carhaix), rassemblement, à 14 h, devant le siège de la structure à Maël-Carhaix.

A ET R

EDITO


Contre l’islamophobie, le racisme et la 
xénophobie : l’unité de notre classe !
npa

Ces dernières semaines, le gouvernement a ouvert une véritable chasse aux musulmanes et aux musulmans. C’est d’abord Macron qui a dit que face à « l’islam porteur de mort », il fallait une « société de vigilance », dans laquelle « les institutions ne suffiront pas ». S’engouffrant dans cette brèche, Julien Odoul, élu RN au conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, a agressé une mère voilée qui accompagnait une sortie scolaire. 
C’est là que Blanquer et un certain nombre de responsables de l’Education ont déversé un flot de déclarations islamophobes. Blanquer a déclaré que « le voile n’était pas souhaitable dans la société », cela après avoir accusé la FCPE de « flatter le communautarisme » pour avoir imprimé une affiche représentant une mère voilée accompagnant son enfant lors d’une sortie. 
La semaine dernière, la rectrice de Versailles, qui visitait une école à l’occasion de la « journée contre le harcèlement », a tourné le dos et décidé d’annuler sa visite sous prétexte qu’une mère portant le voile aidait à l’encadrement d’ateliers au sein de l’école. 
 
Une offensive raciste et xénophobe pour nous diviser
Ces déclarations islamophobes s’inscrivent dans un contexte dans lequel le gouvernement fait voter des lois racistes, de stigmatisation en général des étrangers, des immigrés, en leur attribuant à toutes et tous l'appartenance à une religion, présentée comme « dangereuse », l'islam. Ainsi, la semaine dernière, Edouard Philippe a annoncé une série de mesures réduisant encore les maigres droits dont bénéficiaient les immigrés en France. Ces mesures prévoient l’instauration de quotas d’immigration économique, ainsi que l’instauration d’un délai de carence de trois mois pour accéder à la protection universelle maladie. Marlène Schiappa, elle, s’est félicitée d’avoir intégré un amendement qui prévoit… l’expulsion des étrangers condamnés pour violences sexuelles. C’est là la reprise de la rhétorique de la pire extrême droite, selon laquelle les immigrés seraient des « prédateurs sexuels ».
Le lendemain de l’annonce de ces mesures, Castaner a envoyé la police déloger deux camps de migrants à Paris. Ces déclarations et ces mesures racistes n’ont qu’un seul but : nous diviser, en faisant croire que le danger n’est pas Macron et ses ministres, bien français, mais le travailleur musulman ou immigré. Elles visent à faire croire que, face au « danger islamiste » ou à « l’invasion migratoire », les travailleurs français auraient les mêmes intérêts que leurs patrons. C’est exactement l’inverse : français, immigrés, avec ou sans papiers, croyants ou non croyants, femmes voilées ou pas, ce sont les mêmes patrons qui nous exploitent, et nous avons les mêmes intérêts : les combattre !
Contre la division, l’unité dans la mobilisation !
Face aux déclarations nauséabondes du gouvernement, l’indignation a été massive. Le dimanche 10 novembre, une large manifestation a été appelée contre l’islamophobie, avec la participation de syndicats importants comme la CGT, Solidaires, la FSU, ainsi que des partis politiques comme la France Insoumise, le NPA ou encore LO. 
A Paris, cette manifestation a rassemblé près de 15000 personnes, et différents rassemblements ont également eu lieu dans d'autres villes.
 Dans l’Education Nationale, une pétition intitulée « Non à une école du soupçon » a rassemblé plus de 9000 signataires en quelques jours. D’ailleurs, nombreux étaient les enseignants à participer à la manifestation du 10 novembre, et Blanquer a été la cible de nombre des slogans.
La réussite de cette manifestation, avec la participation d’organisations ouvrières, et de secteurs professionnels comme les enseignants, est une très bonne chose. Le meilleur moyen de lutter contre le racisme, contre la division, c’est de construire l’unité de notre classe sociale dans la mobilisation. C’est pourquoi, la meilleure réponse contre l’offensive raciste et islamophobe du gouvernement sera de construire la grève interprofessionnelle à partir du 5 décembre.