Relaxe pour Gaël, Yann et les cinq du 92 ! Regroupons les luttes contre la répression !
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Gaël, Yann, et les cinq du 92 risquent cinq ans de prison et 75 000 euros d’amende, entre autres pour « violation de domicile »… En réalité pour s’être rendus lors d’une grève contre la précarité en 2014 au siège de l’entreprise pour demander des négociations. La Poste ne supporte pas que Gaël et Yann, malgré leur licenciement, maintiennent une activité en direction des postiers, c’est une remise en cause de son pouvoir de direction.
Si les camarades étaient condamnés, ce serait un pas dangereux vers la criminalisation de la grève. Mais si la mobilisation autour d’eux est large, et que la relaxe est arrachée, cela pourra constituer une démonstration de force, une étape vers leur réintégration et surtout une occasion d’exprimer la nécessité de regrouper nos luttes face à l’offensive patronale et gouvernementale actuelle.
Correspondant