Les députés macronistes planchent sur une loi pour exterminer les choucas.Tout cela sous l'oeil attentif de la FDSEA et du maire de droite de Squiffiec.
Alleluia....
Les dits députés ont démontré pendant la pandémie leur totale incompétence à gérer la crise sanitaire.
Les choucas ne craignent donc pas grand chose si ce n'est du cirque devant la presse.
OUEST FRANCE
Squiffiec. Choucas : les agriculteurs interpellent les députés
C’est dans un champ à
Squiffiec (Côtes-d’Armor) qu’une quarantaine d’agriculteurs et élus du
secteur ont échangé avec Yannick Kerlogot et Éric Bothorel, députés de
Guingamp et de Lannion, sur le problème récurrent des choucas. Une
espèce protégée qui nuit aux cultures.
Une quarantaine de personnes – agriculteurs, représentants de
la FDSEA (Fédération départementale des syndicats d’exploitants
agricoles) et de la Chambre d’agriculture, ainsi que des maires — se
sont rassemblées vendredi 3 juillet 2020, dans l’après-midi, dans l’un
des champs de Pascal et Patrice Malcavet, producteurs de lait à
Squiffiec. Une parcelle de 10 ha de maïs, dont 7 ont été la cible des
choucas des tours. Par centaines, ces oiseaux, bénéficiant d’une
protection, ont déterré les jeunes pousses de maïs pour se délecter des
graines.
Un véritable fléau pour nombre d’éleveurs, qui ont invité Yannick Kerlogot et Éric Bothorel, députés de Guingamp et Lannion, à venir constater les dégâts. Avant de leur demander de faire remonter leurs revendications en haut lieu.
« Nous aurions dû avoir 70 ha de maïs. Au final, on n’en aura qu’une cinquantaine, explique Pascal Malcavet. C’est un manque à gagner de plus de 15 000 €. Je vais devoir acheter plus de maïs pour nourrir mes 120 vaches… » Un dramatique constat que l’éleveur n’est pas le seul à formuler lors de cette rencontre.
Un véritable fléau pour nombre d’éleveurs, qui ont invité Yannick Kerlogot et Éric Bothorel, députés de Guingamp et Lannion, à venir constater les dégâts. Avant de leur demander de faire remonter leurs revendications en haut lieu.
« Nous aurions dû avoir 70 ha de maïs. Au final, on n’en aura qu’une cinquantaine, explique Pascal Malcavet. C’est un manque à gagner de plus de 15 000 €. Je vais devoir acheter plus de maïs pour nourrir mes 120 vaches… » Un dramatique constat que l’éleveur n’est pas le seul à formuler lors de cette rencontre.