mardi 3 mai 2016


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       CALLAC JEUDI 25 Mai 2016- 20h30

               Cinéma La Belle Equipe

 

                          "Comme des lions"

Les 24, 25 et 26 mai nous accueilleront la réalisatrice Françoise Davisse pour son film Comme des lions, documentaire qui suit deux années de combat des salariés de PSA Aulnay contre la fermeture de leur usine.


Comme des lions raconte deux ans d’engagement de salariés de PSA Aulnay, contre la fermeture de leur usine qui, en 2013, emploie encore plus de 3000 personnes dont près de 400 intérimaires. Des immigrés, des enfants d’immigrés, des militants, bref des ouvriers du 93 se sont découverts experts et décideurs. Ces salariés ont mis à jour les mensonges de la direction, les faux prétextes, les promesses sans garanties, les raisons de la faiblesse de l’état. Bien sur ils n’ont pas « gagné ». Mais peut être faut-il arrêter de tout penser en terme de « gain ». La vie est faite d’expériences, de risques, d’aventure et de fierté. Et là, ces deux ans sont une tranche de vie exceptionnelle. Un moment d’intelligence collective, de démocratie et de révélations.


"Comme des lions" a une mathématique bien à lui, une mathématique de cinéma. Il fait un grand mouvement : des chiffres au texte, et du texte aux images et aux sons, et des images et des sons à l’avenir. (Libération)

Un hommage à la lutte ouvrière des salariés de PSA Aulnay, et à ces héros de tous les jours. Simple et percutant. (Les Fiches du cinéma)

Le superbe documentaire de Françoise Davisse revient sur la lutte des ouvriers de PSA Aulnay menacés de fermeture…(20 minutes)

Un hommage poignant à un monde qui se meurt en refusant de se laisser piétiner. (Studio)

Un documentaire social peut-il être un bon film d’action? "Comme des lions" prouve que oui. (Les Inrockuptibles)

Une phrase inscrite sur les tee-shirts clame : "On se battra comme des lions." Oui, ils ont tenu parole, c’est ce que montre le film, qui porte haut son ambition de proposer les modèles à suivre pour les luttes à venir. (Le Nouvel observateur)

En marge de la chronique d'un mouvement collectif, le film est aussi le portrait d'une France en voie de disparition, d'avant la désindustrialisation, quand l'usine était encore ce creuset entre immigrés et gars du coin. (Télérama)